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Un Valérian par Manu Larcenet, déjà je vérifiais la présence de caméra de surveillance non pas pour le voler mais pour ne pas que l'image de moi bavant comme un goinfre s'empiffrant d'escargots atteints d'orgasmes cérébraux (si, si, ça arrive tout le temps chez les escargots) ne soit - l'image - dupliquée pour être collée sur youtube... J'achetais l'ouvrage rageusement - si, si, ça m'arrive aussi - et commençait à le lire sur le chemin du retour.
Je passe sur le résumé de l'histoire, pour faire écho aux critiques enjouées qu'à reçu l'ouvrage, écho dissonnant : c'est NUUUUUL !!!!
Non, sans dec, ok, graphiquement, c'est Larcenet, c'est du super boulot, le coloriste est impeccable aussi, mais punaise, le scénar est pourri, bon sang de bois !! (si, si, ça m'arrive de pouvoir me retenir et dire "bon sang de bois" au lieu de "bordel de merde")...
L'histoire est bateau, les gags sont vus et revus, les... trucs, là, les machins, les rebondissements quoi, sont d'une banalité affligeante, jusqu'à la fin qu'on a reniflée dès le début. Comment peut-on utiliser une telle oeuvre - qui a des hauts et des bas, soit - avec tant de possibilités pour tomber dans une telle platitude, c'est lamentable. Je ne vais pas plus loin, sans rire, ça fait un mois que je l'ai lu et je suis déjà à bout de nerfs rien que d'en reparler, et bon sang, AAAARGH ! pourvu qu'il n'y ait pas de caméras de surveillance !