Contexte et quatrième de couverture : voir tome 1
Histoire :
Dégénérescence et folie dictatoriale, Sarah va faire les frais des fêtes sadiques des dictateurs. Enfin, elle s'en tire plutôt bien (athlétique, disait-on, athlétique au carré, même).
Ou l'on apprend que le commandant (dite maman) de l'armée ne commande pas tant que ça.
Ou Zarh s'avère avoir des pouvoirs qu'on ne suspectait pas.
Ou Maru, leader de l'opposition modéré, va agir.
Avis :
Un troisième tome qui baisse de niveau. Alors qu'on aurait pu, sur les prémisses peut-être périlleuse du tome précédent, obtenir quelque chose d'intéressant, notamment sur le lien à la mère, Otomo Katsuhiro en reste à des schémas simples, qui lui permettent de boucler rapidement une histoire qui aurait peut-être pu tenir en un seul tome. D'ailleurs, plus on avance, et plus les tomes comptent moins de pages pour l'instant, z'avez remarqué ?
On retrouve cependant la trace des enfants de Sarah...
Bon, bin, quand on est parti sur une série, autant continer...