Histoire :
Valerian et Laureline, ayant résolu leur problème d'argent, sont en croisière. Mais, et car le destin ne peut laisser en paix deux agents spatio-temporel, ils assistent à un enlèvement : celui du fils du calife d'iksaladam. Son altesse, à la tête d'un commerce fort rémunérateur (l'ultralum, sorte de carburant ultraluminique), offre une récompense de 100 billiards de boutibloks (je sais pas si vous imaginez) à qui retrouvera son califon chéri.
Valérian s'y colle, mais pas pour la prime : les envahisseurs ont eu le mauvais goût d'enlever Laureline dans la foulée.
Avis :
Un valérian superbement dessiné avec, en prime, une Laureline en petite tenue. Assez pour faire un bon opus ?
Sûrement pas à mon gout. Le scénario est assez classique, et ce qui nous attend propose un thème assez rabaché dans la série. Ca commence a tourner sérieusement en rond, ama, et l'arrière-goût de retournez-y est de plus en plus prononcé. Prenons par exemple le recyclage de personnages apparus dans les anciens tomes :
- le schniaffeur, des armes vivantes
- Kistna et Jal
- Le transmuteur grognon, devenu récurrent
- Shingouz, devenus incontournables apparemment.
les quatres derniers venant tous de "l'ambassadeur des ombres".
Valérian, c'est comme tintin... c'est un monument, mais ça commence à faire bizarre quand, sur des aventures à la base dépaysantes, on commence à retrouver les vieilles connaissances... et croyez-moi, c'est pas fini...
L'univers est-il si petit ?