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26/04/2004
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Titre original : Perdido Street Station Première parution : 22 octobre 2003
Pour la présente édition :
Editeur : Fleuve Noir Collection : Rendez-vous ailleurs ISBN : 2265071854
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La critique du livre
Lire l'avis des internautes (14 réponses)
Comment parler de ce roman de China Miéville ?
Personnellement, je le trouve vraiment déroutant.
L'action se passe dans la Nouvelle-Crobuzon, ville ancienne, putride, délabrée, infecte et grouillante de vie. Toute sorte de vie. Des humains aux khépri (sortes de scarabées), en passant par les vodyanoi (crapauds géants) et les garuda (hommes-oiseaux), toute une population qui doit faire face à ses propres peurs, ses propres tabous et qui se retrouve confronté à un mal innomable engendré de la convoitise humaine...
Ce livre ne se raconte pas facilement. Son ambiance particulière qui oscille entre SF et Fantastique trouvera un écho chez certains amateurs du genre.
Personnellement, je regrette le début (le premier tome en général) très (trop) lent, long. Ce n'est qu'au second tome que j'ai commencé à réellement me plonger dedans bien que certains passages me paraissent très douteux quant à l'imagination débordante de cet auteur.
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Une ville fantastique où se croisent d'étranges mutants. A frémir. Bienvenue dans la cité de Nouvelle-Crobuzon, le cloaque ultime que deviendra la civilisation dans un futur incertain. Dans cette mégapole pourrissante dévorée par la vermine se croisent humains, individus recréés et formes de vie étrangères... Perdido Street Station est un mélange épicé de plusieurs genres: «fantasy» urbaine, oeuvre à prétentions sociales... C'est un roman pléthorique, bourré de rebondissements et de descriptions baroques... se situant bien au-delà des étiquettes, dans cette zone floue que la littérature de l'imaginaire explore avec assiduité depuis quatre ou cinq ans. Il a d'ailleurs reçu à la fois un prix de science-fiction (le prestigieux Arthur C. Clarke Award) et le British Fantasy Award l'année d'après. <b>Jean-Claude Dunyach</b> - <i>L'Express</i> |
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