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RE : RADIX
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30/07/2007 à 11h08
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-->Jim, un condensé de mes opinions, ici et ailleurs, sur Radix:
A) Au secours !
Radix, c'est super chiant.
J'en suis à la page 200, je m'obstine (ca fait 100 pages que je m'obstine déjà) où je passe?
B) Aujourd'hui 16 mars 2007, 336ième page de Radix.
L'otage Français Gutboy n'a toujours pas été libéré de cet interminable pensum.
C)Ben merde!
A la page 442 (précisément le début du chapitre "Les Horizons du Temps"), sans prévenir le lecteur, Radix devient lisible et intéressant ! Et tout le chapitre est comme ça !
Mon dieu quel choc, envoyez la cellule psychologique d'urgence.
D)Libre ! Libre ! Enfin Libre !
Les oiseaux chantent, le soleil brille, l'avenir à nouveau s'ouvre à moi, sonnez trompettes de l'avenir ! Gutboy a été relaché ! J'ai enfin fini Radix !
Ma prochaine lecture, je me le suis juré, sera un roman de science-fiction.
E)Le type qui a écrit ce roman a des problèmes.
- Entre la première ligne et la page 442 TOUS les personnages féminins sont soit des matrones castratrices soit des réceptacles à semence pour la reproduction de l'espèce (oui c'est cru dit comme ça, ce n'est pas tellement plus élégant dans le livre).
- Après être devenu plus fort que Rambo et Scharzenegger réunis, le héros met plusieurs jours à se rendre compte qu'il a envie de sexe, au prix d'un intense effort. Ahaha, je n'arrive même pas à écrire cette phrase sans me marrer.
Et pourtant, je vous le prouve, page 364:
"Vers la fin d'un après-midi de torpeur, il lui sembla percevoir un gémissement - une minuscule stridence lointaine qui montait du plus profond de ses entrailles. Son attention soudaine fit taire le bruit et plusieurs jours s'écoulèrent avant qu'il l'entendît de nouveau - une manière de plainte flûtée dont les trilles faisaient vibrer les petits os de son crâne. Cette fois, il s'ancra solidement dans l'autoscopie et écoutait ce sifflement plus aigu que celui de son sang - mais faible comme enfoui au coeur de sa moëlle. Lentement, sa compréhension finit par cerner sa source et il se rendit compte de ce qu'il représentait: cette rumeur impossible et lointaine était celle de la tension de ses parties génitales - le bruit de ses désirs. Il avait envie d'une vraie femme."
A part ça, il y a une partie lisible entre la page 442 et la page 495, Le chapitre "Les Horizons du Temps".
Je vous rassure ça ne dure pas.
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The abyss should shut you up. Peter Watts - Starfish
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RE : RADIX
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01/08/2007 à 15h00
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Bon, je crois que je vais être obligé d'argumenter un peu!
Radix c'est bien!
Voila, j'espere que vous êtes convaincu maintenant...
Plus serieusement, l'analyse de Gutbay est honteusement mensongere!
En effet, la premiere partie du livre se lit trés bien. Il y a de l'action, les considération "psyco-phylosophique" sont absente ou peu presente, et le scenario est clair.
Ensuite (c'est à dire aprés l'arrestation de Kagan), ça tourne au recit initiatique. On aime ou on n'aime pas, mais ça reste trés lisible.
Ca ne se complique vraiment que vers la fin (disons le dernier tiers) mais là encore je trouve ça tout àa fait lisible si on accepte de laisser de temps en temps une phrase de coté (oui, certaines tournure sont affreusement alambiqué, et je conçoit que ça puisse en enerver certain).
Concernant la monté du désir, c'est loin d'être idiot. Je ne m'y connait pas mais il y a toute une theorie là dessus (un truc avec des shakra et la concentration de l'energie sexuel en un point précis du corps)...
Et j'oubliais: Radix c'est bien!
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RE : RADIX
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07/11/2012 à 14h21
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Ce livre a comblé mes appétits de lecture de SF pour plusieurs raisons.
Fondamentalement Radix est une quête et une initiation. Le personnage et la situation évoluent. On traverse avec Kagan plusieurs communautés :Urbaine, carcérale, militaire, aborigène, matriarcale (pas si phallocrate que ça l'auteur) .... et j'ai trouvé que ces groupes étaient dépeints avec une certaine justesse.
Ensuite j'ai bien aimé la manière avec laquelle il a déglingué la planète. Même si le coté shamanique, vers la fin, peut paraître un peu barré, cela ne m'a pas gêné. Du minéral à l'humain, tout a muté en profondeur. Le contexte est vraiment très exotique.
En contrepoint, on croise dans ce récit des lenteurs, des parties presque énervantes car nimbées d'une métaphysique lourde est pas forcément utiles, mais ce n'est pas l'essentiel du roman. Ce livre n'est pas facile, mais j'ai eu largement mon compte en dépaysement, suspens et intrigue dans une histoire dotée d'un début, un milieu et une fin, peuplée de personnages variés et attachants.
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Tout refuser et continuer.
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