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| | lacroute :
En gros, le premier titre abordé te percute et ne te lâche pas, même longtemps après. es thématiques du mec tu les retrouves plus tard, presque à chaque fois, mais l'effet de surprise se tasse.. |
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Plutôt d'accord avec ça.
Je garde un fort souvenir des deux premiers romans de
Dick que j'ai lus (
Le Maître du Haut-Château ;
Le Dieu venu du Centaure) mais ceux que j'essayai par la suite me sont tombés des mains. :-(
Et j'étendrais ce phénomène, certes subjectif, à ces nouvelles : les premières lues, je les ai trouvés percutantes ; les suivantes assez redondantes (dans leurs chutes surtout : facticité de l'univers ou du personnage...)
Et puis son style, sous l'effet loupe de la nouvelle, je le trouve parfois médiocre (dans le genre épuré, on est loin de la précision d'un
Richard Matheson, par exemple...)
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| | Harley :
Peut être aurait il fallu le scinder pour évoquer ses ouvrages puis l'auteur et ses démons? |
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Ce me semble une bonne idée
(mais j'aurais choisi l'ordre inverse ^^)
Peut-être, en insistant autant sur l'"homme et ses démons",
Arte a-t-elle repensé à son documentaire sur H.P.L (Le cas Philips Lovecraft) qui connut un beau succès ?