En 2016, lis à ton aise

La vie comme une course de chars à voile de Dominique Douay.

		Citation : La vie comme une course de chars à voile de Dominique Douay.

Très sympa ! Avec Granville comme décor, en plus.

De mon côté, Ysabel de Guy Gavriel Kay, chez Alire (ce qui me permet de peaufiner mon québecois)

		Citation : Très sympa ! Avec Granville comme décor, en plus.

Bof, j'ai crashé après 80 pages. Pas accroché aux persos, à une intrigue poussive, des décors inexistants, un manque de souffle. Très déçu par rapport à 5 solutions pour en finir que j'avais beaucoup aimé.
Je laisse quand même une chance à Douay avec L'impasse-temps et La fenêtre de Diane.

Du coup, je quitte la sf pour Dynamite ! de Louis Adamic.

ouf ! fini Tau zero d'Anderson . mais qu'est ce que je me suis fait ch... !J'avais un mauvais pressentiment avant , décidemment faut que je les suive plus souvent , ces pressentiments ...

Machines Infernales: amusant, à la Sheckley ou Brown avec de vrais morceaux de Steampunk dedans.

Je suis, depuis quelques soirées, sur L'oeuf du Dragon de Robert Forward. Pour l'instant, il me fait assez penser à Vernor Vinge en moins belliqueux.

Je ne dois pas être d'humeur en ce moment ... tout ce que j'entame m'ennuie rapidement Difficile de trouver de nouveaux mondes à explorer qui n'est pas un arrière goût de déjà lus

Week-end bien rempli puisque j’ai revu la trilogie originelle de Star Wars.

Même avec la plus grande clémence, je me demande vraiment ce que l’on peut trouver à ces films.

- L’intrigue des deux premiers tient sur un ticket de métro (dans le 1, je flingue l’étoile de la mort ; dans le 2, je deviens un jedi).
Quant au 3e, c’est juste un mashup des deux premiers, avec des petits nounours en plus, pour nous faire avaler le retour de l’étoile noire. Et décliner d'avantage encore les produits dérivés.

- L’univers est loin d’être particulièrement riche : peu de planètes, et seulement quelques bestiaux, le tout ressemblant fortement à la Terre : de la jungle, de la glace et un peu de désert pour Jaba et le tour est joué. Quant aux animaux, des quadrupèdes un peu plus grands que des chevaux montés par des humains, et pour les extraterrestres, des anthropoïdes à peine plus imaginatifs que Roswell.

- Le fameux empire intergalactique avec ses gros vaisseaux et toutes ses armes est tout sauf menaçant. Il suffit d’une poignée de gugusses et de leurs petits vaisseaux pour le mettre en déroute.

- On reste dans le manichéisme vraiment bas de plafond, et le héros-messie classique : on se croirait dans un nanar avec Van Damme. Pour ce qui est de la fameuse force, ce n’est jamais rien qu’un peu de télékinésie améliorée (strangulation à distance), avec juste ce qu’il faut de philosophie de comptoir : le pouvoir n’est pas mauvais à condition de s’en servir pour faire le bien, et surtout de ne pas en abuser.

Bref, je me demande vraiment ce que l’on peut trouver à cette trilogie, alors que la SF a su nous offrir tant de chefs-d’œuvre, parfois avec de petits budgets (Planète interdite) ou des budgets conséquents (Blade runner), et offrir de bien meilleurs films sur la relation père-fils (La route). Non vraiment, je ne comprends pas ce que l’on peut trouver à cette trilogie.

Aussi vais-je m’épargner le reste.
Tout le reste.

Merde, je viens de voir que je me suis gouré de topic pour Star Wars.

Revenons donc à la lecture : la poésie est à l'honneur.
Après Le grand jeu de Benjamin Péret, c'est Howl d'Allen Ginsberg.

		Citation : ouf ! fini Tau zero d'Anderson . mais qu'est ce que je me suis fait ch... !J'avais un mauvais pressentiment avant , décidemment faut que je les suive plus souvent , ces pressentiments ...

Je partage ton avis. Sauf que moi, je ne l'ai pas terminé.

Sinon j'achève Cagebird (Lowachee). Assez classique mais très bon et je ne me suis pas ennuyé.

Ensuite, je commencerai L'homme dans le labyrinthe (Silverberg).

Tu as certainement raison Olivier , mais quand on a vu le premier à 8 ans au cinéma, on ne peut plus adhérer à une analyse objective ... ( d'ailleurs je n'ai pas lu ton post jusqu'au bout ). c'est comme une madeleine de proust géante qui te suit ta vie durant . Tant que c'est assumé , pas de soucis !

Pandemonium de Daryl GREGORY
paru en 2008 chez DEL REY 283 pages VO
j'en suis au début : un récit littéraire avec des touches de fantastique Miam miam Pourvu que cela dure