En 2023, ton portefeuille tu interrogeras

Un détour chez le bouquiniste, délesté de deux recueils de nouvelles :


Eclipses 2000 de Lino Aldani ;

Fictions de Jorge Luis Borges
(sous une illustration de couverture issue de l'œuvre Psychogeographies de Dustin Yellin).

Des emprunts en médiathèque :

L'affaire du chien des Baskerville de Pierre Bayard
(j'avais beaucoup aimé son Qui a tué Roger Ackroyd ?, autre enquête sur un whodunit) ;

Le chuchoteur de Donato Carrisi
(en livre audio, pour la route).

		Citation : L'affaire du chien des Baskerville de Pierre Bayard (j'avais beaucoup aimé son Qui a tué Roger Ackroyd ?, autre enquête sur un whodunit)

J'ai bien aimé L'affaire du chien des Baskerville. Très convaincant. La relecture de Roger Ackroyd aussi. En revanche j'ai trouvé complètement plat Le Titanic fera naufrage, qui porte sur la littérature qui lirait le futur. Le seul exemple troublant, qui donne son titre à l'ouvrage, c'est évidemment le livre de Robertson publié en 1898, Futility, qui décrit le naufrage, après une collision avec un iceberg, d'un paquebot, le Titan, réputé insubmersible, au point que ses constructeurs ont limité le nombre de ses canots de sauvetage...

Voyons ce que vaut le novelliste :
Neil Gaiman - Des choses fragiles - J'ai lu

		Jim : Fictions de Jorge Luis Borges

		Jim : Le chuchoteur de Donato Carrisi

D'excellents livres qui m'ont laissés de très bons souvenirs.

Après : Eileen Chang - La cangue d’or - Bleu de Chine
J'attaque Des astres et des ombres, recueil de nouvelles de George R. R Martin

		Citation : J'attaque Des astres et des ombres, recueil de nouvelles de George R. R Martin

De ses trois recueils chez J’ai lu, c’est celui que j’ai trouvé le moins convaincant.
Alors que Les rois des sables, recueil plus mature, est magistral. La nouvelle éponyme lui avait valu un magnifique doublé Hugo et Locus.
J’aime aussi énormément Dragon de glace, en particulier la terrifiante nouvelle L’homme en forme de poire. Un Bram Stoker plus que mérité.

		Citation : Alors que Les rois des sables, recueil plus mature, est magistral. La nouvelle éponyme lui avait valu un magnifique doublé Hugo et Locus.

Oh que oui!

Dans La cangue d'or, qui est tout sauf un roman de science-fiction, et qui date des années 1940 ,l'auteure chinoise donne une préface et cite Wells (La machine à explorer le temps), un passage où il est question des civilisations qui naissent et s'écroulent. Il est vrai qu'entre la fin de l'Empire chinois, la seconde guerre mondiale et l'invasion japonaise il y a de quoi être perdu. C'est intéressant de voir les esprits de ces temps troublés s'accrocher à Wells pour comprendre l'incompréhensible.

Il y a quelques jours, j'ai acheté :

- Le pigeon, de Patrick Süskind
- Station Eleven, de Emily St-John Mandel