Juillet pluvieux, achats heureux

Dans les griffes de la Hammer de Nicolas Stanzick :

Terence Fisher, Christopher Lee, Peter Cushing... Plus qu'une date de l'histoire du cinéma qui vit l'épouvante assumer enfin sa dimension érotique et violente, le cycle gothique produit par la firme britannique Hammer Films fut en France un véritable emblème subversif. Le déferlement sur les écrans à partir de 1957 de Frankenstein s'est échappé, La Nuit du loup-garou ou encore Dracula prince des ténèbres offre l'histoire d'une étonnante bataille d'Hernani faite de luttes esthétiques, de passions cinéphiles sur fond de révolution pop et de bouleversements politico-culturels.

En retraçant ces événements sous la forme d'un passionnant récit agrémenté d'entretiens fleuves, Nicolas Stanzick livre non seulement le premier ouvrage consacré en France à la maison Hammer, mais il apporte du sang neuf à l'abondante littérature anglo-saxonne déjà parue sur le sujet. Voici le récit de la condamnation morale unanime d'un genre et de la naissance conjointe de la cinéphilie fantastique française, petite communauté joyeusement libertaire et populaire, adepte fièrement revendiquée d'un cinéma du sexe et du sang. Voici la chronique de ces francs-tireurs qui nous ont légué une mythologie Hammer intacte, plus de cinquante ans après Le Cauchemar de Dracula, au moment où tel le comte sanguinaire, le célèbre studio anglais renaît enfin de ses cendres.

Reçu ce matin :

Manga.

De la SF.
- Orion, de Masamune Shirow.

Du samouraï.
- Lone Wolf & Cub, de Kazuo Koike et Goseki Kojima.

Du délire.
- Jojo's Bizarre Adventure, tome 76, de Hirohiko Araki.

De l'extrême.
- Carnets de massacre : 13 contes cruels du Grand Edô, de Shintaro Kago.

En ce qui me concerne :

Improbable crossover historique et science-fictif. Certes, les voyages dans le temps sont un peu répétitifs, mais ce manga est très documenté sur les sujets des thermes romains et sur l'art du bain au Japon.
Graphiquement, c'est un peu moyen.
Un exemple, pour illustrer :

A la médiathèque : Moi, Jennifer Strange, dernière tueuse de dragons, de Jasper Fforde, et Le club des policiers yiddish de Michel Chabon.

@ LeGaidol : En effet, très bon manga, j'ai déjà eu l’occasion d'en dire tout le bien que j'en pense.

Algernon >> J'avais oublié. Merci de le rappeler.

L'adaptation en animé m'attend sur mon disque dur depuis un bout de temps: je tâcherais de m'y consacrer avant le déluge...

Alors que le dessin du manga ne me gêne pas du tout, je trouve celui de l'animé totalement rébarbatif et l'animation particulièrement rudimentaire.

Par contre, je regarderai le film live avec immensément de curiosité.

De toute évidence, c'est un choix graphique délibéré : je comprend qu'il puisse déplaire mais de là à le trouver rudimentaire...

hors sf car rien de nouveau à me mettre sous la dent à part peut être le dernier Kim Stanley Robinson 2312 et le dernier David Brin Excelence dont on dit du bien sur le net mais qui ne sont pas encore soldés en occas

donc hors sf Le Cas Sneijder de Jean-Paul DUBOIS

une petite histoire d'environ 200 pages, bien écrites j'ai lu le 1er chapitre sans m'en apercevoir avec des petites phrases tueuses et une plongée intrigante dans la tête d'un rescapé d'accident d'ascenseur Il fallait oser

j'ai reçu mes achats sur le thème post apocalypse ... YAPLUKA ..