Le détective dans le monde de la science-fiction

étant gentille, j'ai extrait du livre de Lovisi les titres les moins connus (et que j'ai sous la main) :
imagik

Je passe sur les séries comme celles de Panshin (Villiers), Levinson (Phil D'Amato), Rusch (déjà citée), Foster (Montezuma Strip) ou Varley (Anna Louise Bach) ainsi que tous les hommages/pastiches à Sherlock Holmes.

Détectives de l'impossible si tu aimes les nouvelles.

J'oubliais :
Le privé du cosmos de Kilgore Trout (private joke inside).

En effet...

Mais je n'ai aucun mérite : j'ai juste relu hier soir dans Histoires de catastrophe la courte bio de Philip José Farmer où il est fait mention de ce personnage de Vonnegut ^^

Antho de Gilles Dumay au Belial

Question difficile : connaissez vous une histoire avec un détective ou policier qui ne soit pas humain (autre qu'un robot) ??? peut être dans les nouvelles ??? je prends même les réponses avec des auteurs non traduits en anglais ou américain... Merci d'avance

Le microbe détective (et sa suite), par exemple.

il y a aussi la série Victor and Martin de Grey Rollins (une dizaine de nouvelles parues dans Analog), où Martin est un détective humain (pas très doué) et où le vrai enquêteur est Victor, un extraterrestre ramené par le père de Martin (si je me souviens bien).

Bonjour ! :-)

Dans Flingue sur fond musical de Jonathan Lethem, il y a un singe qui est détective mais ce n’est pas le personnage principal du roman. Ceci dit, peut-être que ce bouquin est quand même susceptible de t’intéresser, La nouille.

Les ingrédients :
- Un "inquisiteur" (i.e. détective) privé (pas le singe dont je parle plus haut mais un autre, tout à fait humain) à qui on ne la fait plus
- Des meurtres
- Un kangourou à la détente facile (je veux dire "qui a le flingue plutôt nerveux")
- Des bébés aussi adorables que des piranhas et qui se torchent tout seuls (au whisky...)
- Quelques doses d’ Emmitouflol ou d’ Oubliol (les drogues du coin)
- De l’humour mais derrière l’humour…
… une dystopie.

La recette :
On agite tout ça pendant 300 pages environ en liant le tout avec une prose plutôt enlevée et très imagée (première fois que je voyais un ciel avec soleil couchant comparé à une ecchymose.^^)

Le résultat :
Un court roman noir bien déjanté.

Je l’ai consommé sans déplaisir et rapidement après ouverture. Tellement rapidement cependant que malgré le bon souvenir que j’en ai gardé, j’aurais du mal à donner plus de précisions sur la trame de l’histoire. Un effet de l’ Oubliol sans doute...

Je pense toutefois qu’un tel roman est susceptible de provoquer un puissant urticaire si l’on n’accroche pas avec le monde décrit. Cela n’a pas été mon cas mais il me semble qu’ adhérer à un univers où l’on peut discuter avec une brebis en robe de chambre et en chaussons peut ne pas être très évident.

Que l’on ne se méprenne pas, malgré l’humour indéniable du texte, il ne s’agit pas du tout (selon moi) d’un livre comique

		Citation : Un kangourou à la détente facile

hihi