Lectures: En juillet, aucun livre ne déplaît

Je suis en train de lire "Aliens, vaisseau et cie" de JC Gapdy. C'est un receuil d'une dizaine de nouvelles, qui commencent chacune avec une citation de PK Dick. Je suis aux 2/3 et c'est pas mal du tout. Cela tourne principalement autour du transfert de conscience vers la machine ou un autre être humain.

Fini Le paradoxe de Fermi de Jean-Pierre Boudine.
Excellent bouquin : de la sf intelligente, et surtout réaliste, qui s'appuie sur le post-apo pour parler maths et physique, sans jamais perdre ni lasser le lecteur. Je recommande très chaudement.

Je commence Barnabo des montagnes suivi de Le secret du Bosco de Dino Buzzati.

Dernières lectures : La porte étroite - André Gide
Question de mort - Johan Heliot
La vie est une marie-salope - Serguei Dounovetz

J'ai fini "Aliens, vaisseau et cie". J'avais beaucoup aimé "Les chroniques martiennes" de Bradbury, mais celui-ci m'a plu encore plus. Je n'avais pas en grande estime les auteurs français, mais je suis en train de revoir mon opinion.

La fleur de verre de George R. R. Martin.
Mon avis est très, très nuancé. On trouve deux chefs-d'oeuvre : Le régime du singe (prix Locus) et L'homme aux aiguilles. Cette bonne vieille Mélodie est un bon texte, mais dont la fin m'a déçu, et c'est vraiment dommage, on était à deux doigts du chef-d'oeuvre. Le reste du recueil n'est pas d'un grand intérêt, et certains textes sentent vraiment les fonds de tiroir. C'est moins pire que le précédent recueil du bonhomme chez Actu-sf, mais nous sommes très loin de l'excellence du Dragon de glace.

Terres d'ailleurs : À la recherche de la vie dans l'univers d'André Brahic et Bradford Smith.
Un très bel objet, avec de nombreuses, et splendides photos. Le texte, c'est du Brahic, est également excellent : le meilleur de la vulgarisation avec une pointe d'humour, tantôt sarcastique, tantôt absurde. Un régal.

Un peu déçu par Jack Barron et l'éternité, j'attaque Stalker des Strougatski.

Terminé un petit gore sympa....Séductions de Ray Garton..

L'astronef rouge de M-A Rayjean.

Fini le livre de Brahic et Smith, absolument passionnant.

Je commence A rebrousse-temps de Dick.

Je ne suis même pas allé au bout du Dick.
Si l'idée de départ était bonne, voire excellente pour une nouvelle, le roman s'enlise assez vite. On sent bien l'oeuvre alimentaire, vite écrite et vite oubliée par le lecteur.
Comme Silverberg et tant d'autres professionnels, Dick a écrit beaucoup d'alimentaire. Jean-Daniel Brèque, à propos de Poul Anderson, employait la très belle expression de "forçat du clavier".

Je m'aventure dans le polar avec Tueur de flics du regretté Fajardie.

Relecture des tombereaux d'années plus tard d'un roman qui m'avait marqué: "Le crépuscule des stars" de Robert Bloch.