Ces textes peuvent s’avérer riches en enseignements et anecdotes, prêter à la réflexion et au sourire ; et ainsi, loin de faire office de remplissage, constituer de réelles plus-values aux ouvrages qui les contiennent.
Je vous invite à partager ici vos coups de cœur en la matière !
"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
Ces "bonus" me sont souvent utiles au même titre qu'une nouvelle qui bouche un trou d'attente entre deux lectures quantitativement plus conséquentes. Leurs consultations ne sont pas forcément suivies de celles des ouvrages qui y sont accolés.
D'autre part je consulte souvent (voir relis) les préfaces des Livres d'Or de la SF (par exemple et principalement) en amorce ou en conclusion des lectures d'ouvrages de certains auteurs. Cela me permet de recadrer un ouvrage donné dans une bibliographie, une biographie d'auteur.
Par contre un ou des paratextes ajoutés à une édition originale à l'occasion d'une réédition (retraduction intégrale ou revue) ne me pousseront pas à l'achat de la nouvelle mouture.
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Fiotox
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RE : ParatexteSF
26/08/2015 à 21h26
J'aime bien les introduction, mais parfois je préfère les lire après avoir lu le roman, notamment celles de Gérard Klein, qui spoile parfois sauvagement...
A vaincre sans péril on triomphe
Jim
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RE : ParatexteSF
27/08/2015 à 12h09
lacroute :
Ces "bonus" me sont souvent utiles au même titre qu'une nouvelle qui bouche un trou d'attente entre deux lectures quantitativement plus conséquentes. Leurs consultations ne sont pas forcément suivies de celles des ouvrages qui y sont accolés.
Pour ma part, c’est souvent quand je n’arrive pas à arrêter un choix entre plusieurs romans ou nouvelles que je satisfais mon envie de lecture à l’aide de « non-fictions » de ce genre.
Fiotox :
J'aime bien les introductions, mais parfois je préfère les lire après avoir lu le roman […]
À l'inverse, certains préfèrent lire les postfaces avant les romans ; par exemple, Michel Jeury : « Génocides, importante réédition, dans Ailleurs et demain classiques, nous est livrée avec une passionnante postface de Philippe Curval. Une postface se lit toujours avant le livre : c'est pour ça qu'on la met à la fin. C'est une préface qui tire au lieu d'être une préface qui pousse. »
"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
lacroute
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RE : ParatexteSF
29/08/2015 à 19h33
Jim
Citation :
Pour ma part, c’est souvent quand je n’arrive pas à arrêter un choix entre plusieurs romans ou nouvelles que je satisfais mon envie de lecture à l’aide de « non-fictions » de ce genre.
>>>> Aussi..!
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Loderlo
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RE : ParatexteSF
23/11/2015 à 13h33
J'avais été ébloui par l'intelligence et la pertinence de la postface que Charles Stross avait écrit pour son Bureau des atrocités, son analyse roman d'espionnage vs roman d'horreur ...
Jim
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RE : ParatexteSF
24/11/2015 à 11h20
Bonjour Loderlo. Bienvenue !
Citation :
[...] la postface que Charles Stross avait écrit pour son Bureau des atrocités, son analyse roman d'espionnage vs roman d'horreur…
Voilà qui m’intéresse… Merci.
Je devrais pouvoir mettre la main dessus en médiathèque.
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dernière édition : 24/11/2015 à 11h29
SG-LYON
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RE : ParatexteSF
11/01/2016 à 23h39
J'aime beacoup les paratextes d'un roman, ça donne une vraie richesse.
L'art pour l'art
lacroute
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RE : ParatexteSF
12/01/2016 à 00h15
Tout comme les paraposts d'un thread, ils illuminent ou n'éclairent que peu.
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Jim
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RE : ParatexteSF
04/02/2016 à 15h59
Ayé. Lu la postface du Bureau des atrocités de Charles Stross.
Intéressant, ce rapprochement entre littératures d'épouvante et d'espionnage, via le "cauchemar réel" de la Guerre froide.
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