Publier des nouvelles

Début janvier, j'ai envoyé une nouvelle à la revue Galaxies. Pas de réponse jusqu'à présent, mais il paraît que c'est normal: sur le site de la revue, on prévient les auteur débutants qu'un délai de six mois est normal.

C'est comme ça avec toutes les revues? Parce que dans ce cas, débuter comme auteur semble presque impossible. Supposons que je doive envoyer ce premier texte à trois revues, qui, chacune, prendront six mois pour la lire. Que ce texte soit refusé par toutes, et qu'il ne me reste plus qu'à en écrire un autre... S'il faut trois ans (six fois six mois pour les deux premières nouvelles), il est possible que l'élan se brise.

Mon histoire n'a pour le moment été lue par personne d'autre. J'ai l'impression que la nouvelle est valable, mais je ne saurais bien entendu dire si la rédaction souhaitera la publier.

En l'absence d'un réponse, je n'ai pas vraiment envie d'en écrire d'autres.

Quelqu'un a-t-il fait la même expérience?

Oh lal a!
Bon quelques remarques.
Si je comprend bien tu n'as fait lire ta nouvelle à personne. Alors comment es tu sur de la qualité de ton oeuvre ?
Maintenant un truc dont je suis d'accord avec toi c'est l'impolitesse des éditeurs. Qu'ils ne puissent pas lire rapidement tout ce qu'ils reçoivent, on peut le comprendre. Mais qu'ils ne soient pas capable d'adresser un moindre signe d'accusé de reception. - Pense à joindre une enveloppe timbrée -
Petite précision : je ne parlais que d'envoi par mail. Dans ce cas ne me parlez pas de disponibilité. Un simple logiciel d'accusé de réception suffit.

Stealrige, la personne à plus à même de juger si une nouvelle est digne d'être publiée dans une revue, c'est l'éditeur de la revue.

Par ailleurs, j'ai une certaine expérience de l'écriture (journalisme), et je sais que quand un texte que j'ai écrit me plaît, il plaît également à d'autres.

Quant à savoir si un texte va être publié, c'est une autre histoire.

		Citation : Début janvier, j'ai envoyé une nouvelle à la revue Galaxies. Pas de réponse jusqu'à présent, mais il paraît que c'est normal: sur le site de la revue, on prévient les auteur débutants qu'un délai de six mois est normal. C'est comme ça avec toutes les revues? Parce que dans ce cas, débuter comme auteur semble presque impossible. Supposons que je doive envoyer ce premier texte à trois revues, qui, chacune, prendront six mois pour la lire. Que ce texte soit refusé par toutes, et qu'il ne me reste plus qu'à en écrire un autre... S'il faut trois ans (six fois six mois pour les deux premières nouvelles), il est possible que l'élan se brise. Mon histoire n'a pour le moment été lue par personne d'autre. J'ai l'impression que la nouvelle est valable, mais je ne saurais bien entendu dire si la rédaction souhaitera la publier. En l'absence d'un réponse, je n'ai pas vraiment envie d'en écrire d'autres. Quelqu'un a-t-il fait la même expérience

salut l'ami ne t'en fais pas ta réponse viendra si ton texte a passé le cap des preselections papier.
JC Dunyach partant chez Bragelonne, il ecluse ses textes en retard.
perso, je dirai que comme tu ne reponds pas à un appel specifique, rien ne t'empêche d'envoyer ton texte à plusieurs editeurs en même temps, au moins si l'un d'eux est interesse, il te contactera et tu n'auras pas attendu, tu ne te seras pas ronge pendant 6 mois pour rien.
s'il est accepté, tu previens les autres, alors le risque de se griller te retorqueront certains, moi je dirai si tes textes plaisent, on te le les lira.
que si tu dois attendre tout le temps... ca ne sert à rien d'écrire.
(désolé si j'écris c'est pour partager, pas por laisser les textes sur mon disque dur, sinon j'irai les balancer sur le net avec un logiciel ftp et ca irait plus vite)
désolé de te décevoir mais c'est presque pareil partout sauf chez nos amis québecois de Solaris qui eux te recontactent très vite..
bon le hic, c'est qu'ils ont un quota d'auteur français épuisé jusqu'en 2006, donc c'est quasiment mission impossible d'y être publié prochainement...

en espérant t'avoir un peu aidé et pas trop découragé.
Amitiés.
Jess[/cite]

pour stealrige,

rares sont les editeurs à accepter l'envoi par mail maintenant....

		KAAN a écrit : désolé de te décevoir mais c'est presque pareil partout sauf chez nos amis québecois de Solaris qui eux te recontactent très vite.. bon le hic, c'est qu'ils ont un quota d'auteur français épuisé jusqu'en 2006, donc c'est quasiment mission impossible d'y être publié prochainement...

ça me donne envie d'écrire une nouvelle pour Solaris, s'ils répondent, c'est déjà quelque chose. Pour les quotas, il s'agit d'auteurs français, ou de non-Canadiens écrivant en français?

non canadiens écrivant en français...