Que lisez vous en Sf et fantasy en octobre ?

J'initie le topic puisque Tank girl et JC manquent à leurs obligations ;D

Que lisez vous en octobre ?

En train de finir la foire des ténèbres de Bradbury: c'est un classique du fantastique. Un peu daté mais très sympa sur la fin (un peu d'émotion lors des conversations entre Will et son père?).

Axiomatique de Egan: ben voilà, il est tout chaud, la couverture est pas mal, et je n'ai lu que la première nouvelle l'assassin infini et déjà première frustration puisque sur une idée commune à isolation, on a à peine le temps de se mettre dans l'univers que c'est déjà fini. ça ne va pas me réconciler avec le format de la nouvelle...

Couverture de Donato Giancola, déjà utilisée il y a un moment pour :

juste un merci à Oman pour avoir préciser SF et FANTASY en octobre

Je viens de finir également The ROSETTA CODEX j'ai eu un peu de mal à franchir la première partie traitant de la jeunesse du héros CALE plutot hard (esclavage morts etc) mais la deuxième partie est franchement plus passionnante Sans être transcendant, c'est un livre d'une lecture facile et agréable jusqu'au bout

Reçu samedi une partie des livres commandés !
Pour ce soir : Nova ou Blind Lake ou la Saison de la Sorcière !!! j'ai pas encore choisi...

Axiomatique - Greg Egan

Etonnant, non ?

PS : je préférais l'illustration de couverture de l'édition DLM (même si celle-ci était incomplète)

		Citation : Axiomatique - Greg Egan PS : je préférais l'illustration de couverture de l'édition DLM (même si celle-ci était incomplète)

pour ceux qui n'ont pas l'édition DLM :



dans laquelle on reconnaitra le fameux tableau thème de la nouvelle The caress.

la version britannique (pas très sophistiquée, ressemblant plus à du techno-thriller) :



(Millenium, 1995, couverture de The Mule)

J'ai fini le Farmer commencé en septembre. C'était bien.

		Citation : Axiomatique de Egan: ben voilà, il est tout chaud, la couverture est pas mal, et je n'ai lu que la première nouvelle l'assassin infini et déjà première frustration puisque sur une idée commune à isolation, on a à peine le temps de se mettre dans l'univers que c'est déjà fini. ça ne va pas me réconciler avec le format de la nouvelle...

Arf !
Tu vas vite voir que la nouvelle est un exercice beaucoup plus impitoyable que le roman.
Elle permet de se fixer sur une idée et d'aller au bout de cette dernière, qui n'aurait pas tenu la distance sur un roman. Un excellent exemple en est : Orbites instables dans la sphère des illusions (Unstable Orbits in the Space of Lies pour Sandrine).

Je ne sais pas où glisser la nouvelle mais je viens de lire sur actusf que Michel DEMUTH, traducteur en autre de DUNE, est décédé.
Triste je suis...

Ayant beaucoup aimé le cycle de darwath cet été, j'ai flashé sur L'Invité malvenu de B. HAMBLY sans trop savoir de quoi il retourne...

		Citation : Tu vas vite voir que la nouvelle est un exercice beaucoup plus impitoyable que le roman.Elle permet de se fixer sur une idée et d'aller au bout de cette dernière, qui n'aurait pas tenu la distance sur un roman. Un excellent exemple en est : Orbites instables dans la sphère des illusions (Unstable Orbits in the Space of Lies pour Sandrine).

merci ;-). Je suis de l'avis d'Olivier sur la difficulté du format nouvelle qui reste néanmoins mon favori.

En ce qui concerne Egan, je ne suis pas sûre que l'allongement des textes (Quarantine 219 pages, Permutation city 310 pages, Diaspora 376 pages, les deux derniers revenant toutefois à 249 pages) ait été bénéfique.

La question est surtout de savoir où va Egan parce que son dernier texte (Riding the crocodile) est tout simplement insignifiant. Espérons que son roman annoncé reparte dans la bonne direction, faute de quoi il faudra le rayer de la liste des écrivains majeurs.