Bill est militaire, il aime Caroline, mais Caroline meurt. Bill croit à la reincarnation , meme qu’il se souviens de la plupart de ses vies prédèdente. Il amie tellement Caroline qu’il est pret a tout pour le retrouver. Deux solutions s’offre a lui: mourir et ainsi essayer de suivre Caroline à la trace, ou traverser le monde des vivants (la terre, notre monde quoi!) et ainsi ésperer tomber sur la reincarnation de Caroline. Comme il est déjà morts plusieurs fois il sait qu’il ne suffit pas de mourrir et de demander au premier ange qui passe par ou est partie Caroline il choisit de voyager de son vivant, au pire il pourra encore mourrir après. Il se porte alors volontaire une mission militaire perilleuse et top secret. Le moteur a essence vient d’etre inventé, seulment en Grande-France (Europe) il n‘y pas une goutte de petrole et il est indispensable à la Grande-France de disposer de ressources petrolieres car Le moteur a combustion c’est l’avenir. La Grande-France ne veut pas de conflit avec Jerusalem (Afrique du Nord – Proche et Moyen Orient) riche propriétaire de petrole, elle decide alors d’envoyer des espions semer la zizanie en amérique (au mains des indiens et des noirs) afin d’y déclencher une geurre civile pour que les rouges et les noirs s’entre tue avant l’invasion blanche (Grande-France). Ces espions sont au nombre de deux: Bill et un certain Adolf, un militaire colèrique avec une petite moustache et les cheveux coifées en limade…
Et les voila donc partis vers des aventures tellement loufoques et nombreuses qu’il me serait peine à en décrire plus (ce ne sont que les deux premier chapitres).
Ce titre ressemble à “Crésudi dernier?”, et ceci aussi bien au niveau du style et du contenu, mais reste un très bon moment détente.
Comme dans “Crésudi dernier?”
Van Herck
nous emmène dans un monde innouï, a moitié sf a moitié fantastique, tout a fait délirant. Il réecrit constament l’histoire, fait preuve d’un grand sens de l’humour. Il tire un portrait satirique la situation politique mondiale a son époque, mais ne prend pas position.L’auteur
Né le 19 mai 1938, Paul