Palahniuk
nous livre ici un receuil de chroniques sur l’amerique profonde. Bien que compilant de vraies chroniques ce livre merite sa critique dans ce forum car en préface l’auteur nous explique comment la réalité et la fiction sont étroitement liés. Comment en fait elle forment un cycle (Je pourrais vous expliquer comment, mais cela gacher le plaisir de votre eventuelle futur lecture)Le livre est divisé en trois partie, la première (intitulée « Ensemble ») dresse des portraits de groupes passioné par l’une ou l’autre activitée. Dans le texte « C’est de là que vient la viande »
Palahniuk
nous montre comment des collegiens driller par leur proches, perdent leurs santé a essayer de devenir les meilleurs lutteurs greco-roamin du monde, et au final aucun d’entre n’est qualifié ne serais-ce que pour le tournois national.Dans la deuxieme partie (« Portraits ») Chuck rend visite et dresse un portrait de personnalité américaines (Juliette Lewis, …). On y decouvre aussi Marilyn Manson en tant que diseur de bonne aventure, ou encore « The rocket guy » personnage haut en couleur (constructeur de jouet de proffession) qui veux constuire la première fusée pour voyage spatial privé. Il y rend aussi un hommage à Ira Levin (écrivain sf, ‘Les femme de Stepford’, ‘Un bonheur insoutenable’)
Enfin dans la derniére partie (« Seul »), Chuck
Palahniuk
nous parle de lui et des son vécu, ainsi que de ses racines. A souligner est le fait que meme quand parle de lui il ne perd pas son esprit critique, et montre un certain gout pour l’auto-dérisionl’Auteur ne manque pas de nous montrer les motivations ainsi que les cotés positifs des personnes qu’il rencontre ainsi que de leurs actes (il montre tout sous un angle tres humain-pas de foutage de geulle) mais ils n’oublie pas non plus d’en souligner l’ironie et le non-sens, il essaye simplement de montrer les choses sous le plus de facettes possible. Bref il essaye de rester éaliste et tres vite on se rend compte que la réalité peu effectivement dépasser la fiction tellement elle peut s’averer glauque et/ou absurde.
Cela donne un résultat à la limite du réalisme et du naturalisme.
Le style :
Beaucoup plus facile a lire que ses romans,