De Janvier, le ciné j'enviais

...dans la GASF ? ou la GASF?...ou encore dans la GASF? ;-)

Le Rollerball de Norman Jewison avec James Caan (Jonathan! Jonathan!) et Maud Adams est amha l'un des 10 meilleurs films de SF de tous les temps. Avec la Toccata de Bach en intro dès le début du film sur le match Houston-Madrid, c'est pour moi aussi culte que Strauss dans 2001.

		Citation : amha l'un des 10 meilleurs films de SF de tous les temps

IL ME LE FAUT !!
Et les nouvelles aussi, j'essaie de négocier le recueil de nouvelles signé William Harrison auprès de ces sales voleurs de vendeurs sur Priceminister.
Je les amadoue avec le coté nostalgique que représente cet opus. C'est vrai en plus ! :-)

Un peu qu'il te le faut !!!! Y'a intérêt !!!

		Citation : Speedball 2 Brutal Deluxe

Mais pourquoi tu me parles tout d'un coup de ce jeu (excellent d'ailleurs, j'ai passé des parties mémorables. Téléchargeable en abandonware, mais j'ai pas pu le faire marcher :'( )
Pour le rapport, vu mon grand âge, j'avais vu le film avant de jouer... Du coup...

		Citation : 1975 - nouvelle, film

1973 en fait.

		Morca : Mais pourquoi tu me parles tout d'un coup de ce jeu

Le président du jury du Festival Gerardmer, cette année, est John McTiernan. Un petit tour dans sa filmographie m'a fait tomber sur Rollerball (2002) qui a l'air d'être une daube cosmique. Et, de fil en aiguille, je découvre cette version de 1975.
Le lien avec Speedball 2 Brutal Deluxe est venu tout naturellement. Je t'avais dis que j'ai terminé une infinité de fois le championchip du jeu. La plus grande frustration, c'était de recruter les meilleurs joueurs pour l'équipe. Des joueurs apparaissaient momentanément, et il ne fallait pas sauter l'occasion de les acheter, car au tour suivant de la championship, ils n'étaient déjà plus sur le marché. Tout simplement, il fallait casser de l'adversaire pendant les matchs, ou ramasser la monnaie sur le terrain, pour s'éviter ce genre de déception.

		Citation : Tout simplement,

Tiens, c'est ta faute, j'ai réussi à le faire marcher - sans les sons de foule hélas, ça casse l'ambiance...
Et bien j'ai fait quelques matchs et je me suis tout simplement fait rétamer à chaque fois ^^

		Morca : et je me suis tout simplement fait rétamer à chaque fois ^^

ahah
Un intérêt du jeu réside aussi dans sa difficulté à gagner. Je te rassure, j'y ai rejoué il y a quelques mois, et je me suis pris des roustes. Avant de leur montrer qui est le boss. ^^

A l'époque, il a fallu que mon frère vienne me montrer que le bouton "save" signifiait "enregistrer une partie".
Ça, il ne me l'a expliqué seulement quand il a vu que je fracassais notre Amstrad à coup de clavier (si j'avais pu, je l'aurai balancé par la fenêtre, pas de doute ;-), devant l'écran du Game Over, parce que j'avais perdu en demi finale malgré une super équipe.

		Citation : Rollerball (2002) qui a l'air d'être une daube cosmique.

Voui. On tutoie même le concept grandiose de Méga Bouze Galactique (qui est à la Grosse Daube Cosmique ce que le rupteur quantique est au pulseur à fusion. Enfin, j'dis ça, je ne dis rien koâ)

Hors SF/
Etant donné que j'avais beaucoup aimé le film d'Arnaud Desplechin (Un conte de Noel), j'ai regardé le précédent avec les mêmes acteurs: Rois et Reine, et c'est encore formidable. J'admire la pâte de ses deux films: un mélange de burlesque et de tragique. Mathieu Almaric et Emmanuelle Devos sont bluffants. Certains moments prennent à la gorge, et d'autres sont très très drôles.