En 2016, lis à ton aise

Métaquine de François Rouiller.
Entre doute dickien et lobbying pharmaceutique. Très bien.

Bel apercu en effet, Infinity.

.... et que le moindre des dieux SF me préserve d'un futur comme le suivant en matière de collection d'ouvrages issus de l'Imaginaire, gonflé d'immatérialité, d'Ebooks sans substance (la petite tache noire sur l'étagère droite supérieure est une carte SD).



La nouille, le squat livresque est un vrai problème; mon épouse ne comprend pas que que l'univers est sans cesse en expansion. Comment s'opposer, nous frêles humains à une loi de la nature si puissante..?

Tiens viens de commencer Black Out ( j'ai besoin de trucs un peu prenant , sinon je vais dégoupiller . Du coup ai laissé quelques trucs en cours dont 2666 de Bolano ) .
Eh ben c'ets pas mal du tout pour le moment ( bon faut dire que c'est presque un documentaire pour moi vu que c'est en plein dans mon metier !)

		Olivier : Je me lance maintenant dans L'homme programmé de Silverberg

Très inégal, à mon avis.

Côté illustration, je garde un faible pour l’écorché de Siudmak :

		Olivier : Et vous, relisez-vous ?

Rarement ; mais avec un plaisir grandissant.

		LeGaidol : Métaquine de François Rouiller.

L’essayer, c’est l’adopter ?

Je ne suis plus que vaguement l’actualité du genre mais ça fait plaisir, après Les affinités de Robert C. Wilson, de voir que la fiction spéculative sait encore être en prise avec son temps.

		lacroute : .... et que le moindre des dieux SF me préserve d'un futur comme le suivant en matière de collection d'ouvrages issus de l'Imaginaire, gonflé d'immatérialité, d'Ebooks sans substance (la petite tache noire sur l'étagère droite supérieure est une carte SD).

Sacré gain de place … mais grosse perte esthétique/plastique. :-s

		tj : Tiens viens de commencer Black Out (j'ai besoin de trucs un peu prenant , sinon je vais dégoupiller […]) . Eh ben c'est pas mal du tout pour le moment (bon faut dire que c'est presque un documentaire pour moi vu que c'est en plein dans mon métier !)

La recherche historique ?

L’armement ? (si oui : ne dégoupille surtout pas ! ^^)

Le tourisme temporel ?

Bonjour,

		Citation : Je me lance maintenant dans L'homme programmé de Silverberg

Ah, Silverberg !

J'avais dévoré les "Monades urbaines" et "Les ailes de la nuit" quand ces textes étaient sortis dans Galaxie.
Avluela aux ailes diaphanes et le Guetteur sont inoubliables.

Un bon point aussi pour "Les déportés du Cambrien" et "Les chants de l"été".

Par la suite j'ai été assez déçu par "Opération pendule" et "Un jeu cruel". Pas à la hauteur des deux précédents à mon avis.

Par contre je n'ai pas encore lu "L'homme programmé".

Oui, assez inégal comme auteur. Mais bon, quand on voit la longueur de sa bibliographie quelques faux pas sont certainement inéluctables......et excusables.

Bonne journée.

Jim : la gestion des grand réseaux électriques ....

		Infinity : Ah, Silverberg !

+1
^^

		Infinity : Avluela aux ailes diaphanes et le Guetteur sont inoubliables.

D’ordinaire, je goûte peu les univers aux motifs de science-fantasy, mais j’avais adoré ce périple de Perris en Jorlem.

		Infinity : Un bon point aussi pour "Les déportés du Cambrien" et "Les chants de l"été".

Rarement estimé, Les déportés du Cambrien.
Personnellement, si l’intrigue politique ne m’avait guère intéressé, je reste fasciné par l’idée de base et le décor associé (quand bien même serait-il scientifiquement inexact…)

Du recueil Les chants de l’été, je n’ai pas lu tous les textes ; mais je garde un excellent souvenir de la nouvelle éponyme.

		Infinity : Par la suite j'ai été assez déçu par "Opération pendule" et "Un jeu cruel". Pas à la hauteur des deux précédents à mon avis.

Pas lu Opération Pendule. Sans doute retenu par la catégorisation « Juvenile »…

Un jeu cruel, je le trouve bancal ; mais j’aime les protagonistes tragiques et hors-normes (« la vierge aux mille enfants »…) de ce mélodrame.
Son intérêt reste surtout historique : j’y vois la première pierre (en format roman) de ce qui sera la grande période de Silverberg.

Morwenna de Jo Walton, cucul et creux.

		Citation : cucul et creux

Ben oui, ils le sont tous.......:)

		Citation : Ah, Silverberg ! J'avais dévoré les "Monades urbaines" et "Les ailes de la nuit" quand ces textes étaient sortis dans Galaxie.

Les Monades urbaines (c'était paru dans Galaxie, tu es sûr ?), j'ai essayé de le relire, c'est devenu complètement illisible je trouve, comme toutes ces dystopies des années 60-70. Les ailes de la nuit, que j'avais lu moi aussi avec ravissement sous la forme Roum, Perris, Jorslem, j'ai essayé de le relire, j'ai trouvé ça à peine lisible aussi... J'en ai lu beaucoup d'autres de Silverberg qui ne m'ont laissé aucun souvenir... Non, pour moi, les grands Silverberg, ceux qui m'ont laissé des souvenirs, ce sont des textes comme L'oreille interne, Sailing to Byzantium, Né avec les morts...