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Vivonne, ça résonne . Premier Leroy. Je n'ai pas le temps mais j'écrirai une chronique :)

		Citation : Vivonne, ça résonne . Premier Leroy. Je n'ai pas le temps mais j'écrirai une chronique :)

J'avais bien aimé La monnaie bleue, mais je trouve qu'il a souvent ses tics d'écriture, qu'on retrouve dans Le bloc par exemple.
Par contre, c'est un bon nouvelliste.

Même étant le premier, j'ai ressenti parfois un cabotinage ou bien est-ce un des personnages principaux (Garnier en l’occurrence) qui est incarné par l'auteur lui-même Leroy, comme si le personnage Garnier se faisait l'écho des opinions, goûts et couleurs de l'auteur, partageant foultitudes de références littéraires et cinéphiles, et témoignant de ses lubies et de ses défauts lors de son introspection post-apocalyptique. Dans l'ensemble, Vivonne est brillant pour tous les autres aspects de l'histoire. Quelques scènes superbes dans une histoire top !

		Citation : Garnier se faisait l'écho des opinions, goûts et couleurs de l'auteur, partageant foultitudes de références littéraires et cinéphiles, et témoignant de ses lubies et de ses défauts lors de son introspection post-apocalyptique

C'est exactement ça.
Dans un roman, ça passe. Mais à la longue ça devient lassant.
Je trouve qu'il peine à se renouveler, comme peut le faire un Antoine Chainas, par exemple (pour prendre un contemporain capital).

Il me semble que Jim avait réussi à mettre la main sur un ou deux recueils du bonhomme. Je suis curieux d'avoir ton avis.

Ce que nous avons perdu dans le feu de Mariana Enriquez.

		Olivier, au sujet de Jérôme Leroy : Il me semble que Jim avait réussi à mettre la main sur un ou deux recueils du bonhomme.

Sur trois, si je compte Dernières nouvelles de l’enfer emprunté en médiathèque… : un recueil de short-short, variations sur les stéréotypes du cinéma horrifique. Plaisant pour les amateurs du genre, mais anecdotique.

Les deux autres recueils étaient ceux parus au Cabinet noir, La grâce efficace et Une si douce apocalypse.
Ils m’avaient plus par leurs touches d’horreur ou d’anticipation et leur côté rentre-dedans en matière de politique.

(Sur ce dernier point, je serais peut-être plus critique si je les relisais aujourd’hui mais à l’époque où les fictions criminelles que je lisais ressortaient de l’investigation/thriller à l’américaine, cet ancrage socio-politique français offrait un changement bienvenu.)

		Olivier : Ce que nous avons perdu dans le feu de Mariana Enriquez.

Très intéressé par ton avis.

Ce recueil, dont j’entendis tant de bien, je le prends en main, le repose, le reprends, le repose…

(En ce moment, je lis encore Sans portes ni fenêtres de Peter Straub, par petits morceaux bien espacés. À mi-parcours, c’est plus que bon et si ça se maintient comme ça, j’envisage d’en faire une chronique).

Terminé deux très bons romans : l'Ogresse de Thierry Poncet et Le siffleur de nuit - Greg Woodland .

		Citation : Très intéressé par ton avis. Ce recueil, dont j’entendis tant de bien, je le prends en main, le repose, le reprends, le repose…

J'ai lu la première nouvelle, qui est aussi la plus longue.
C'est du brutal.

Tif et Tondu Tome 45 Le mystère de la chambre 43 Sikorski et Lapière .

Un long voyage de Claire Duvivier . J'ai bien du mal a saisir le hype autour de ce roman . La quatrieme de couverture annonce un recit de vies bouillonnantes ? Le moins que l'on puisse dire c'est que ca ne bouillone pas vraiment . Plutot feux tres tres doux sur les 200 premieres pages , avec une montée en température sur les 60 dernieres , mais qui ne suffit pas a faire monter la sauce ... Une deception pour ma part