En avril , même au Brésil ,on aime lire.

Malgré un emploi du temps de dingue, j'ai terminé l'excellentissime "Tous à Zanzibar". J'aime beaucoup ce livre, même si je n'ai pas compris la présence de la fille sur la couverture de l'édition de poche.
Et je viens de passer les premières pages d' "Une porte sur l'été" d' Heinlein qui se lit très facilement.

Un excellent souvenir de lecture, ce Heinlein. J'y repensais encore l'autre jour, d'ailleurs...

Je n'en dirais pas autant du Brunner, par contre ; il faudrait peut-être que je le relise...

		Citation : Tous à Zanzibar

Je l’admire plus que je ne l’aime, celui-ci…

J’ai trouvé que ses personnages ressemblaient trop à des marionnettes, manquaient d’épaisseur.

C’était peut-être le but, mais ça m’a gêné.

		Citation : Une porte sur l’été

Dans un numéro de la revue Phénix, Roland C. Wagner le citait comme son roman favori

(avec deux Dick : Le Dieu venu du Centaure et Le Maître du Haut-Château).

Un space op sympa : Permanence de Schroeder
Un post ap itou ( sauf la fin un peu gnangnan....): Les derniers hommes de Bordage
Pas inoubliables , de bons moments pour le train pendant les vacances !

Terminé "sur des mers plus ignorées" de Tim Powers. Il me laissera pas un souvenir imperissable, seulement quelques bons moments. On y retrouve la qualité d'écriture des "voies d'*Anubis", des personnages attachants, de l'humour mais l'histoire y est bien moins passionnante et la fin un tantinet décevante.
Et maintenant je fais quoi ? Je vais à Zanzibar avec les autres ?

Je viens de terminé "une porte sur l'été". Mon épouse m'a diagnostiqué le même sourire satisfait qu'après "Au carrefour des étoiles". J'en ai tiré le même plaisir old school et positivement rafraichissant dans la crise actuelle.
"En route pour la gloire" m'avait déçu, mais pas celui là.

J'attaque Le printemps d'Helliconia, histoire de voir si je vais prendre les deux suivants.

J'ai lu d'une seule traite Nouilles froides à Pyongyang de Jean-Luc Coatalem.
L'écrivain-voyageur se fait passer pour le créateur d'une agence de voyage qui souhaiterait évaluer le potentiel touristique de la Corée du nord (aka République populaire démocratique de Corée), afin de pouvoir y organiser des voyages.
Et le voilà donc en cette étrange contrée, et le lecteur ne peut que plonger en apnée dans ce récit où Orwell fraye avec Gogol (pour le grotesque) et Volodine. On ressort de là complètement secoué, avec l'impression de connaitre un peu mieux ce pays si mystérieux, qui n'a pas grand chose pour lui (point de climat tropical cubain, ni de dynamisme chinois), seul véritable et dernier régime totalitaire, léniniste aux accents parfois nazifiants.

		Citation : l'excellentissime "Tous à Zanzibar". J'aime beaucoup ce livre,

Ah, excellentissime, je plussoie vigoureusement. ^^

		Citation : J'ai lu d'une seule traite Nouilles froides à Pyongyang de Jean-Luc Coatalem. L'écrivain-voyageur se fait passer pour le créateur d'une agence de voyage qui souhaiterait évaluer le potentiel touristique de la Corée du nord (aka République populaire démocratique de Corée), afin de pouvoir y organiser des voyages. Et le voilà donc en cette étrange contrée, et le lecteur ne peut que plonger en apnée dans ce récit où Orwell fraye avec Gogol (pour le grotesque) et Volodine. On ressort de là complètement secoué, avec l'impression de connaitre un peu mieux ce pays si mystérieux, qui n'a pas grand chose pour lui (point de climat tropical cubain, ni de dynamisme chinois), seul véritable et dernier régime totalitaire, léniniste aux accents parfois nazifiants.

L'étape suivante est de regarder le pays sur google earth. C'est assez édifiant. Les images sont très précises, puisque, curieusement, les satellites ne chaument pas sur cette partie du globe.
Par ailleurs, le lecteur attentif de 1984 devrait y avoir une surprise architecturale.

		Citation : J'ai lu d'une seule traite Nouilles froides à Pyongyang de Jean-Luc Coatalem. L'écrivain-voyageur se fait passer pour le créateur d'une agence de voyage qui souhaiterait évaluer le potentiel touristique de la Corée du nord (aka République populaire démocratique de Corée), afin de pouvoir y organiser des voyages. Et le voilà donc en cette étrange contrée, et le lecteur ne peut que plonger en apnée dans ce récit où Orwell fraye avec Gogol (pour le grotesque) et Volodine. On ressort de là complètement secoué, avec l'impression de connaitre un peu mieux ce pays si mystérieux, qui n'a pas grand chose pour lui (point de climat tropical cubain, ni de dynamisme chinois), seul véritable et dernier régime totalitaire, léniniste aux accents parfois nazifiants.

Ca donne vraiment envie :)

		Citation : Volodine

Ca c'est l'argument qui tue! Adjugé vendu, je le prends dans le prochain batch d'amazon ou de priceminister. :D