En décembre , lectures d hiver ...

		Jim, sur un grand coup de nostalgie, avoue : (et j'aime bien les super-ordinateurs à cartes perforées. Manque seulement un singe capucin pour servir d'opérateur. ^^)

J'avoue que, là, j'ai hurlé de rire ;-D ! Et je n'ai pas encore d'opinion quant à la dernière page, n'y étant pas parvenue...

Désolée, Olivier !

Les maîtres-feu - Joëlle Wintrebert

Bon, ayé, fini le Bester : la fin est en effet grotesque, et tout l'argumentaire façon psychanalyse de café du commerce est terriblement daté. En somme, j'ai beaucoup aimé les 2/3 du bouquin, ce qui, vu son âge, n'est déjà pas si mal :-).

Plongée présentement dans de la fantasyyyyyyyyyyyyy : le 3e tome d'Acacia, de David Anthony Durham. Dense. J'ai toujours du mal à y entrer (ça m'a fait pareil pour les 2 tomes précédents), mais une fois dedans c'est pas mal. Pour l'instant, toutefois, je trouve ce tome plutôt moins intéressant que les précédents (j'en suis à la moitié). Et j'attends avec impatience de recevoir En mission, de Weber (merci les lenteurs de la Poste...), histoire de le lire en français :-D.

Ah oui , moi c'est quasiment tout l'homme démoli qui m'a gonflé tellement je l'ai trouvé daté .
Sinon j'ai fini Oussama de Spinrad , pas mal , y a de l'idée , mais looooooooong , beaucoup trop looooooooong .
Et les ratiocinations du personnage principal par rapport à sa foi etc.. etc .. finissent par lasser à force de répétition .
Mais l'aspect géopolitique est bien foutu .

		Citation : De la solidarité, du combat, de l'anarchie et une bonne dose d'utopie, ça ne fait que du bien !

Très bon résumé du bouquin, en effet.

Je continue dans le polar, mais Outre-Atlantique, avec un grand classique : Calme blanc de Charles Williams

Fini le Williams, excellent thriller maritime. Bien meilleur que le film qui en a été tiré, AMHA.

Fini également Les jumeaux du diable de Marcel Aymé. Le roman est intéressant, mais souffre d'une fin un peu bâclée, malheureusement. Mais Aymé reste néanmoins un excellent romancier

Je commence Train perdu, wagon mort de Pouy.

Holiday de Jean-Bernard Pouy.

J'ai commencé L'Oeucumène d'or, et je suis très très agréablement surpris.

Une histoire d'amour radioactive d'Antoine Chainas.
J'avoue que j'ai toujours eu du mal avec cet auteur. Il a incontestablement du talent, mais je trouve qu'il lui manquait un petit truc pour accrocher le lecteur que je suis.
Et là, miracle. J'ai l'impression qu'il a enfin su trouver le ton qu'il lui manquait, la bonne distanciation, la froideur parfaite : j'ai l'impression de lire du Manchette (même froideur clinique avec ici ou là une pointe d'ironie fulgurante), auquel s'ajoutent les thématiques propres à Chainas, assez proches de Cronenberg (le corps, la sexualité).