En juin achète sans fin...

The iron thorn, d'Algis Budrys, paru en serial dans Galaxie.



(Coronet, 1969, couverture anonyme, notez la police de caractère typique)

Getting home, unique recueil (et unique édition) de Francis Marion Busby, un auteur peu connu en France (voir ci-dessous).



(Ace, 1987, couverture de Tom Miller, le trou en haut indique un livre qui a été soldé ou retourné)

Cage a man, du même. Traduit chez OPTA, c'est le premier volume de la trilogie Demu.



(Hamlyn, 1979, couverture d'extraterrestre typique de Joe Petagno)

Armored Core: Nine Breaker, reçu hier par la poste ; ça m'a tout l'air d'être la suite (plus ou moins directe) de Nexus : je m'y mettrais donc quand le moment sera venu...

Project barrier, un recueil britannique de Daniel F. Galouye, intéressant parce que contenant un inédit et des textes jamais repris en volume.



(Hamlyn, 1979, couverture de Tim White)

The witching hour, encore un recueil de nouvelles, ici de James Gunn. Une thématique "sorcellerie" assez étonnante de la part de ce spécialiste de la SF, un livre jamais réédité. Contient The magicians (initialement Sine of the magus) base du roman Les magiciens en VF, la nouvelle se trouve dans Galaxie (1ère série).



(Dell, 1970, couverture anonyme)

Earth invader de Randall Garrett, un auteur qui aurait pu faire une carrière à la Silverberg (ils ont souvent collaboré ensemble et même partagé le même appartement, je crois), mais qui a cédé à la facilité de l'écriture rapide, comme ici un roman intialement paru sous pseudo (Anything you can do par Darrel T. Langart, un anagramme transparent). A sa décharge, il a aussi joué de malchance avec des éditeurs ou des collections qui ont coulé peu après avoir misé sur lui (Starblaze ou comme ici Star)



(Star, 1982, couverture de Attila Hejja)

The weapon from beyond, de Edmond Hamilton (Starwolf #1 comme c'est marqué dessus), un livre qui a eu une carrière nettement meilleure en VF (au moins quatre éditions) que dans sa langue d'origine.



(Ace G-639, 1967, couverture de Jack Gaughan)

Viriconium nights, recueil de nouvelles de M. J. Harrison situées dans la cité éponyme.



(Gollancz, 1985, couverture de Bregitta Booth)

Bound in time, de D. F. Jones, un auteur qui ne retrouvera jamais en SF le sucès obtenu avec sa trilogie Colossus.



(Granada, 1982, couverture de Tim Gill)

un français perdu aux USA : The overlords of war de Gérard Klein (traduit par Brunner), évidemment c'est chez DAW.



(DAW, 1974, couverture de Karel Thole)

Un nominé aux Nebula assez peu connu, The journal of Nicholas the américan de Leigh Kennedy, un livre un peu hors du genre, d'où sa parution chez St Martin's, peu impliqué dans le genre (sauf pour les Dozois annuels). C'est assez proche de L'oreille interne de Silverberg.



(St Martin's, 1988, couverture anonyme)

Manifest destiny, un recueil de Barry B. Longyear de sa période faste (le tout début des années 80) où on le lisait partout et où il recevait de nombreux prix comme pour Enemy mine. Muet depuis, mais revient récemment un peu dans Analog.



(Berkley, 1980, couverture de John Rush)

		Sandrine : Project barrier, un recueil britannique de Daniel F. Galouye, intéressant parce que contenant un inédit et des textes jamais repris en volume.

Oh une couverture kitsch... Perry is back ! (Je suis rodé ;)




Mis la main sur Never Let Me Go (Auprès de moi toujours) des Kazuo Ishiguro, en VO, donc.
Brrr... mon deuxième livre en anglais après la lecture de Animal Farm de Orwell, il y a deux ans.
Ca ne va pas être de la tarte.

		Citation : Oh une couverture kitsch...

Jackie Patternoster ? Où ça ?


ok je ------->[ ]

Le DVD de Dead or Alive, le film tiré du jeu vidéo éponyme de Team Ninja, trouvé neuf sur Priceminister pour une misère...

Saga of lost Earths, un recueil de deux novella inspirées de la mythologie Finlandaise par Emil Petaja. Petaja, comme d'autres (High, Edmonson, R. M. Williams ou Rackham), est un auteur qui est presque inconnu en France malgré une production non négligeable et d'une qualité honorable, sans doute parce que ayant écrit peu de nouvelles et donc n'ayant jamais pu se signaler à la connaissance du public francophone par le biais des revues.



(DAW, 1979, couverture de Penalva)

Gunpowder god, un roman de la série Paratime par H. B. Piper. Un livre un peu trompeur puisqu'il existe une version courte (dans Analog) et qu'il est plus connu, y compris en VF, sous le titre de Lord Kalvan of Otherwhen.



(Sphere, 1978, couverture anonyme)



Nift the lean, de Michael Shea, une sorte d'omnibus (paru en VF au CLA) proche de Leiber ou Vance, un des textes qui, au début des années 80 (1982 pour l'édition américaine), annonçait l'arrivée de la déferlante Fantasy.



(Granada, 1985, couverture de Gino D'Achille)

du SO "classique" avec plusieurs romans de E. E. Smith (ou soit-disant de lui comme la série Family D'alembert écrite par Goldin). L'occasion de voir l'évolution marquée du style des illustrations du genre sur quelques décades :

Fin des années cinquante, début de l'ère Powers :



(Pyramid, 1958, couverture de Richard Powers)

Fin des années soixante, le psychédélique :



(Pyramid, 1970, couverture de Jack Gaughan)

Fin des années soixante-dix, le début de l'ère Foss et consorts (d'abord en Grande Bretagne après une période photographique, puis aux USA) :



(Panther, 1975, couverture de Chris Foss)