Lectures: En juin, un bon bouquin pour voyager au loin...

La mauvaise pente de Gore Vidal.

Seveneves de stephenson.
Bon ca commence doucement.... Pour l ´instant je peine a reconnaitre la patte de l auteur.

Le bois des ténèbres de Richard Laymon.

Au bout d'une centaine de pages, le bouquin est sympas, le style s'améliore rapidement, mais j'ai rarement vu autant de fautes d'orthographe.

La face cachée de Darwin : L’animalité de l’homme de Pierre Jouventin.
L'auteur explore l'impact de Darwin sur les sciences humaines, et les lectures malveillantes de son oeuvre (darwinisme social, racisme, etc.).

Seveneves ca continuedoucement..trop .
Ca se confirme ,Stephenson a perdu la gniak,ce qui se laissait voir sur Reamde et la Mongoliade ..;
A la moitié de l'opus , malgré un pitch intéressant , Il s'amuse à désamorcer toute tentative de rendre l'histoire intéressante par de longues digressions intempestives sur la construction et le fonctionnement d'une stationspatiale en orbite proche . Le tout servi par une prose plate et sans humour , ca fait beaucoup !

Nous mourrons nus de James Blish.
Ca fait toujours plaisir de le voir réédité.

La maison-femme de Lino Aldani.
Un pot-pourri de très haute tenue où l'on trouve aussi bien de la sf que du fantastique, et de l'excellente fantasy.
Une véritable découverte, et j'en profite donc pour recommander l'auteur.

Très peu de lectures ces derniers mois, les livres étant concurrencés par les dvd, lesquels me satisfont assez souvent (quoique rarement dans les genres qui siéent le plus au forum) pour que je décroche.

Malgré cela, les nouvelles de SF en sont venues à me manquer… alors me voilà au milieu du recueil Envahisseurs !, d’Andrew Weiner, et c’est bien agréable. :-)


Beaucoup de pastiches pour commencer (de Brown, Ballard, etc.)
Toutefois, pas des exercices de style décoratifs et pesants mais de plaisantes histoires portées par une narration extrêmement fluide (ça coule vraiment tout seul …)

Alors, évidemment, ce n’est pas dans ce type de nouvelles qu’on discernera aisément la voix propre de l’auteur ; cependant je sens que ça vient (notamment avec le récit Devenir indigène, un des préférés de l’auteur, ou avec la reprise d’une nouvelle à l’autre de l’expression « la condition humaine »…)


PS : par contre, huit traducteurs pour treize nouvelles, ce n’est pas un peu too much ?
Et, M. Ruaud, faire citer le nom de Mireille Dumas à des personnages qu’on devine new-yorkais, est-ce bien raisonnable ? ^^

Terre de Lierre de Tanith Lee.