Recherche du titre d'une nouvelle de SF...?

Perso, j'ai de la définition de la hard-science une vision très floue. Au départ, il y a longtemps, dans "Histoire de la SF", papa Sadoul accolait à Heliconia Spring une couleur hard-science (page 365 en A&D). Perso j'en suis resté là, collé à l'idée alors que, en fait, hein, en gros le volume c'est bien autre chose. Y'a un peu de çà, mais pas que..!
Alors, pour le recueil de Clarke, c'est un peu pareil, je colle, pavlov aidant, un côté hard à un truc que j'ai lu il y a des décennies et dont je ne me souviens de rien. Alors maintenant, Clarke avait t'il une couleur hard pour l'époque, du moins qualifiée comme telle...? Parce que la hard-science, est-ce qu'elle ne s'enHARDit pas au fil du temps et des nouveautés qui ont manifestement une clientèle..?


Ce qui me plait dans l'instant, c'est que les posts défilent et que çà faisait une paille que ce n'était pas vraiment arrivé sur CSF.

		Citation : mais c'est toujours l'humain ou peut-être plutôt l'humanité qui est au centre de ses récits.

Oui, bien sûr, mais au final chacun d'entre nous n'a t'il pas un besoin différent du degré d'implication de l'humain dans les récits qu'il lit, voire même une notion différente de ce qu'il est..?

la Hard-Science reste un genre assez élusif à la définition problématique (pour des exemples voir Wolfe ou Prucher ou remonter à la source avec Blish/Atheling) dont la constitution en logique floue est homothétique à celle de la SF elle-même. On y trouve un centre clairement identifié (Sheffield, Clement, Clarke (?)) et une périphérie qui lui emprunte des éléments (narratifs, thématiques ou paratextuels) comme l'a fait par exemple Aldiss dans le livre évoqué par Sadoul. Après on peut y mettre n'importe quoi, j'y ai vu du Ballard ou du Le Guin (Hartwell) ou du Lem (Philmus).

sur Clarke, j'ai toujours été "barbée" par ses œuvres relevant sensément de la Hard-Science (sous toutes réserves). Je l'ai toujours préféré soit dans l'anticipation technophile de la conquête spatiale (Lumière cendrée) soit à contre-emploi dans le délire mystique a-scientifique avec une nouvelle comme Les neuf milliards de noms de dieu ou son meilleur roman qu'est La cité et les astres ou ses divers brouillons (Against the fall of night) et prototypes (The Lion of Comarre) qui sont fascinants).

Coucou Sandrine, tu ne pouvais qu'être pas loin..!
Comment on fait un smiley tous sourires dehors d'un mec qui a réussi son coup..?

Perso la hard-science commence quand j'ai l'impression d'avoir acheté un bouquin de trigonométrie.

		Citation : et une périphérie qui lui emprunte des éléments (narratifs, thématiques ou paratextuels) comme l'a fait par exemple Aldiss dans le livre évoqué par Sadoul

Si j'ai bien compris et si je me souviens bien de la trilogie: la périphérie explicative, vulgarisatrice, hard-science se situe dans les rares chapitres consacrés à la station orbitale humaine observant Heliconia..?

ou alors c'est là du Hard-World-Building (sic) en ce sens qu'Aldiss emprunte plutôt une méthodologie à la Clement dans la construction de son monde fictif.

ÕµÞÚÛõ¤ °¹³¯...?

Bongu, un BDP* ...!

* Big Dumb Pseudo

		Citation : Ce qui me plait dans l'instant, c'est que les posts défilent

P**, moi aussi j'ai trop la nostalgie des forums où les posts défilaient à toute allure... Au début de l'internet, sur les antiques forums usenet, ça défilait parfois à plusieurs dizaines par minute... Pour la SF, c'était l'époque de fr.rec.arts.sf...