Recherche du titre d'une nouvelle de SF...?

		lacroute : Citation : mais c'est toujours l'humain ou peut-être plutôt l'humanité qui est au centre de ses récits. Oui, bien sûr, mais au final chacun d'entre nous n'a t'il pas un besoin différent du degré d'implication de l'humain dans les récits qu'il lit, voire même une notion différente de ce qu'il est..?

Essaie "La Mort et le sénateur", "L'Appel des étoiles" ou "Le Chien de la lune" (dans ce même recueil "Avant l'Eden") et si tu n'as pas ton content d'humain et d'émotion, tu pourras passer ton chemin sans regret.

Ok... défi relevé..!

Mais va me falloir le retrouver le recueil et c'est pas dit, là tout de suite, tant je suis adepte du foutoir polylocalisé polybancalement stratifié..
En attendant, j'ai titillé Noosfere pour m'apercevoir que les trois bestioles sont soit sur "Avant l'Eden" soit sur l'intégrale de Bragelonne avec un doute sur la présence de "L'appel des étoiles" (un listing de106 nouvelles sur 1000 pages, bongu, c'est le vertige, c'est le tournis) je suis peut-être passé à côté.
Je dispose comme base non lue, pour l'instant, en fouillant un peu (de surface parce que sinon tout tombe) du Livre d'Or et de: Base Venus 1,2,3,4,5,6; 2010, 2061; rama 1 & 2... ainsi que plus profondément (mais où ?) "la cité et les astres" que je pense l'avoir lu; "L'étoile"; "Les fontaines du paradis", 2001 (lu)...

en fait, The call of the stars est un des segments de The other side of the sky qui se trouve bien dans le Bragelonne. Je dois avoir tout lu (ou presque) de Clarke tout seul (une grosse centaine de titres en stock), mais généralement pas les collaborations (réelles ou supposées).

...donc qui se trouve aussi sur "L'étoile" sous le titre "De l'autre côté du ciel".

"presque tout lu" dis-tu..! Et le souvenir de tout itou..? Parce que, hein, en cherchant plus près concernant Clarke, sur "Nouvelles des siècles futurs", j'ai lu "flèche aux étoiles" il y a un an et du sommaire du mastodonte jusqu'à Brunner (je picore dans l'ordre pour la suite de temps à autre) je ne me souviens de rien, mis à part le Farmer avec "Après la chute de King Kong". Cà, c'est la mémoire et l'age; et c'était quand même bien mieux avant..!

		Citation : un centre clairement identifié (Sheffield, Clement, Clarke (?))

Je garde un bon souvenir de MIssion gravité aka Question de poids. Si l'on est franchement très loin du chef-d'oeuvre, j'aime beaucoup l'idée de cette planète à la gravité écrasante, et l'étonnante poésie qui clôt le roman.
Dans le même ordre, je trouve que Clarke peut parfois se laisser aller à de belles descriptions de l'espace, notamment dans 2010 (ou 2061) ?

		Citation : presque tout lu" dis-tu..! Et le souvenir de tout itou..?

pas forcément hélas. Parfois, plus que des détails ou une intrigue précise, il me reste une impression générale. Avec Clarke c'est celle de romans où il ne se passe pas grand chose si ce ne sont de simples visites : celle des Overlords, de Rama (et ses potes), celle du vaisseau terrien dans The songs of distant earth, celle du clone sur Terre dans Imperial Earth et ses pentominos, celle du Titanic dans The ghost from the grand banks, un tour d'ascenceur spatial ou une visite d'astéroïde (The hammer of god).

Bongu, entre ce qu'on oublie et ce qui nous reste à lire, c'est du fildeferisme..! Basta, on pourrait avoir:

Intéressant, tout ça... ^^
(dommage qu'on ne puisse pas éditer le titre de ce fil...)
Vous me donnez envie de (re)lire des nouvelles de Clarke.

		tj : [...]le recueil avant l'eden regroupe pas mal de jolies perles , dans mon souvenir

+1

		lacroute : En gros de la hard-science avec plus de morceaux d'humain dedans je ne serai pas contre.

Itou.

Une forme d'idéal de science-fiction ?

		scifictif : Pour les personnages, ils sont certes archétypaux, mais c'est toujours l'humain ou peut-être plutôt l'humanité qui est au centre de ses récits.

Je plussoie.

La "transparence" de personnages me gêne d'ordinaire mais je ne me souviens pas d'avoir eu ce ressenti avec les textes de Clarke.
Ceci dit, il s'agit là de mes toutes premières lectures du genre alors je manquais de recul.

Je me rappelle surtout de personnages devant traiter avec des phénomènes (astro)physiques prompts à causer leur mort, ce qui leur laissait peu de temps pour l'introspection...

		lacroute : Basta, on pourrait avoir [la mémoire totale]

Attention, selon Robert Silverberg, L'homme qui n'oubliait jamais ne s'en portait pas très bien ...

		Citation : Attention, selon Robert Silverberg, L'homme qui n'oubliait jamais ne s'en portait pas très bien ...

Celui, d'Ecken, au final, non plus. Le surhomme potentiel cède la place à un humain emporté dans la tourmente du retour de manivelle de ses propres pouvoirs.

		Citation : Une forme d'idéal de science-fiction ?

En quelque sorte, oui et pourquoi pas...! Un tout qui partirait du fantastique le plus pur pour déboucher sur des considérations scientifiques à flanquer le tournis à une girafe via de larges touches humaines. Je rêve de çà, mais va savoir, çà existe peut-être déjà..?

Concernant la "transparence" des personnages et en guise de boutade qui ne fera rire que moi, celle de l'homme invisible est t'elle un obstacle à l'exploration de son humanité..? Vous avez 4 heures puis je ramasse les copies. Le jus de citron sur les touches du clavier ne servira pas d'excuse à celles et ceux qui chercheront à passer outre.