Si vous deviez exiler votre pire ennemi...

Salutations à toi itou, Claire et bienvenue ! :)

Pour répondre à JC:

J'enverrais mon pire ennemi sur la Terre de Thierry Di Rollo, celle de La profondeur des tombes, plus précisément dans l' U-Zone. Je ne lui donnerais pas de Royster, bien sûr et je lâcherais ma hyène après quelques jours s'il est encore vivant.

Je triche mais bon : dans une couverture de Paternoster.

En plus de vivre dans un environnement en 2D, il deviendra aveugle en peu de temps.
Je vous bat à plate couture je crois là !

oh que c'est méchant ! ;-)
on pourrait aussi se la jouer grand seigneur, avec ceux qu'on n'aime pas, et les exiler sur les îles les plus débiles de la BD Philemont... L'accent aigu, par exemple, ou le point sur le i : c'est piti piti, et c'est inoffensif (encore que... y a des créatures, là-bas... brrr)

parce qu'on l'a oubliée, cette bd mal dessinée, mais elle était fabuleuse côté idées. Des aventures, sur les lettres de l'océan atlantique...

ah, l'enfance......... l'imagination débridée libre de tous clichés... le rêve absolu... cette Bd, elle m'est revenue en tête d'un coup là maintenant, et hop ! me voilà toute nostalgique des mercredi am passés à la bibliothèque, dans les temps jadis ...

Dans "Le grand livre" de Connie Willis.

		Sylvain a écrit : Dans "Le grand livre" de Connie Willis.

La tu fais froid dans le dos....... Il suffit déjà de lire le Chevalier dragon de Gordon R. Dickson pour avoir une idée, bien que légèrement humoristique, sur la difficulté d'adaptation d'un humain "actuel" à la vie au moyen age.

Dans le même ordre d'idée il y a une nouvelle de je-sais-plus-qui ( Asimov peut être ? ) qui raconte que les gens du futur expédient leurs criminels dans le passé à des périodes critiques. L'un d'entre eux tombé juste pendant la seconde guerre mondiale réussit à s'en sortir. Les autres trouvant qu'il n'a pas purgé sa peine, l'arrache à sa nouvelle famille et l'envoie encore plus loin dans le passé juste avant la chute d'une cité de l'antiquité ( non pas Illion )

Une autre nouvelle aussi ( je ne me rappèle toujours pas de qui ) raconte que dans une société quasi actuelle, il est possible pour les gens inadaptés d'aller dans une période qui leur convient le mieux. A la fin ils se rendent compte que, même si leur nouvelle période semblait leur convenir et qu'ils en ont étudié tous les détails avant de partir, "c'était quand même mieux avant".

Comme quoi je crois que tu as trouvé le pire des enfers Sylvain. Nous avons beau glosé sur le bon vieux temps, nous ne sommes finalement formaté que pour le notre.
Juste un exemple : nous avons un tel niveau d'hygiène que nous supporterions pas la quasi totalité des aliments du moyen age, à commencer par l'eau

		Citation : Comme quoi je crois que tu as trouvé le pire des enfers Sylvain. Nous avons beau glosé sur le bon vieux temps, nous ne sommes finalement formaté que pour le notre. Juste un exemple : nous avons un tel niveau d'hygiène que nous supporterions pas la quasi totalité des aliments du moyen age, à commencer par l'eau

Exactement. La majorité des gens vivants aujourd'hui seraient probablement déjà morts au Moyen Age.

moi je l'enverrais dans les abris de "la vérité avant dernière" (de Dick pour les barbares qui ne le sauraient pas encore).

		Citation : La tu fais froid dans le dos....... Il suffit déjà de lire le Chevalier dragon de Gordon R. Dickson pour avoir une idée, bien que légèrement humoristique, sur la difficulté d'adaptation d'un humain "actuel" à la vie au moyen age.

tu veux parler de "Le Georges et le dragon" de Dickson ? quelle poilade ! j'en ris encore, ce ce texte...
c'est une idée, d'ailleurs, d'envoyer son ennemi en un temps inconfortable, et en plus dans la peau d'une créature dont il ne maîtrisera ni les us ni les coutumes (on va dire ça comme ça... )

		Citation : La majorité des gens vivants aujourd'hui seraient probablement déjà morts au Moyen Age.

Ouaip, et pas mal d'entre eux seraient morts avant l'âge de cinq ans.

Les déportés du Cambrien, un Silverberg mineur, où les contestataires sont déportés au Cambrien, sans possibilité de retour.