Ca, c'est ma réaction lorsque j'ai dû refermer ce livre.
La magie de l'écriture de Julien
Centaure
, c'est que l'on s'attache indéniablement aux personnages de l'histoire.Et les quitter, c'est un peu quitter des amis.
En effet, ils sont tous attachants ou détestables mais ne nous laissent pas indifférents.
Ce deuxième volume d'Esperanza 64 décrit l'installation des humains sur Terra, la planète que l'équipage de l'Esperanza va devoir "apprivoiser" pour pouvoir y vivre.
Les défis sont nombreux :
- Dans un premier temps, survivre au milieu d'une nature inconnue et parfois hostile.
- Dans un second temps, s'établir et agrandir la colonie afin d'accueillir les 15 millions de passagers cryogénisés, attendants d'être réveillés.
Tout au long de cette grande histoire, on assiste à l'émergence d'un nouveau monde avec tout ce que cela représente en défis humains et technologiques.
Beaucoup de questions sont abordées et notamment des réflexions sur notre capacité à changer la nature humaine (appât du gain, violence, pouvoir) et le prix à payer pour aller vers un monde meilleur.
Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce roman, comme j'ai aimé le précédent et j'espère réellement qu'il y aura une suite car je voudrai savoir comment cette nouvelle humanité va résoudre les défis qui ne manqueront pas de se présenter.
Outre l'histoire captivante et les thématiques abordées, l'écriture de Julien