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Traduction : Daniel Lemoine Titre original : Ender's Game Première parution : 1977
Pour la présente édition :
Editeur : J'ai lu ISBN : 2290308285
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L'avis des internautes (39 réponses)
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RE : La stratégie Ender
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04/05/2008 à 15h53
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A ce niveau, les enfants gymnastes sont aussi torturés, non ?
Je ne suis pas d'ccord avec le mot "Torture".
C'est de l'exploitation extrème, oui.
C'est aussi de la SF, dans le sens où aucun enfant de cet âge n'a cette maturité, et là il y en a une école pleine.
Donc, si je reviens à cette analogie avec les enfants-gymnastes, ils sont exploités "à fond" du fait de la souplesse de leurs jeunes corps.
Les enfants-génies de Card, pareil, mais c'est au noveau d'autres capacités.
En fait, ils sont robotisés, programmés etc...
Pas torturés.
La torture a pour but de faire craquer les gens. Pas de les pousser à leurs limites.
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 Je ne dis pas que ce n'est pas injuste, mais je dis que cela soulage.
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RE : La stratégie Ender
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04/05/2008 à 17h52
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La torture a pour but de faire craquer les gens. Pas de les pousser à leurs limites. |
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C'est vrai.
En général, ils craquent après...
(d'où la thérapie entamée avec La voix des morts)
PS : Surtout Gracie, ne lis pas Xénocide car en plus d'être un ouvrage où on pousse les enfants à l'extrême (une fois de plus et d'une manière différente), ce roman est chiant.
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RE : La stratégie Ender
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08/02/2010 à 14h10
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Je ne comprend absolument pas pourquoi tant de gens aiment ce livre ou encore pourquoi il a été primé. Moi je l'ai trouvé chiant puis prévisible au possible.
Au début l'histoire m'emballait assez bien, la mise en place des personnages etc, tout se passait bien, malgré le ton mou symptomatique de Card. Les petits passages énigmatiques entre les chapitres m'emballaient bien aussi.
Puis j'ai lu, j'ai lu, c'était plutôt intéressant au début et puis j'ai commencé à sentir pas mal la répétition : on passe son temps entre séances d'entraînement et séances d'introspection, puis de temps en temps sur Terre avec les deux autres petits génies et ça commence à devenir long parce que ça se répète sans cesse et que ça fini par n'apporter plus rien. Quand va-t-il se passer un peu autre chose? Quand aura-t-on l'impression que le récit progresse vraiment de nouveau?
Et enfin, la fin... J'espérais ne pas avoir attendu pour rien; ok, la scène en elle-même est bien mais on voit venir la révélation à trois années-lumière...
Je n'ai absolument pas été surpris, pour moi c'est un gros "tout ça pour ça", et encore, le "tout ça" n'en contient finalement pas tant que ça.
La toute dernière scène à propos des extra-terrestres est plutôt intéressante mais, non seulement, à ce moment j'étais déjà plus que gavé par le ton monotone de l'auteur, mais en plus il se met à faire son préchi-précha et tourne le truc en religion, ce qui a terminé de m'agacer totalement.
J'avais précédemment lu un autre truc de Card, La rédemption de Christophe Colomb. J'avais plutôt apprécié celui-là, aussi doté de longueurs mais également de bonnes idées pas mal exploitées et suscitant l'intérêt; et bien sûr ce qui m'avait déplu c'était la mollesse de la narration et certaines bondieuseries totalement dispensables pour l'histoire, mais apparemment inévitables pour l'auteur. Ici, j'ai retrouvé tous ces défauts, et en plus je me suis vraiment emmerdé.
Au vu de la réputation du bouquin en tant que quasi classique et du fait de vouloir "m'instruire" en SF, j'ai lu ce bouquin, je me suis forcé, jusqu'au bout; voilà, c'est bon, j'ai fait mon devoir. Mais là, Card c'est fini pour moi, et je suis bien content d'avoir emprunté ce truc à la bibliothèque et d'avoir gardé mes sous.
Et, pour la seule fois de ma vie peut-être, je citerai un de ces grands critiques élitistes, indscutables embassadeurs de l'unique et vrai bon goût, extrait du siiiii accueillant forum du cafard cosmique : "Orson Scott Card il a du caca dans sa tête."
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