‘Le Chien qui Rit’ est un receuil de 13 nouvelles. A titre indiquatif il a gagné le ‘Prix du Jury Gérardmer-Fantastica 1995’. Je n’ai pas choisi ce livre pour son prix mais bien pour son écrivain.
J’avais d’abord lu ‘Mon Ame est une Porcherie’ que j’ai vraiment trouvé un excellent livre. ‘La petite fille aux Araignées’ est moins cru que le précedent titre mais est tout aussi original et est plus emotionnel. Un point commun de ces deux premiers titres est qu’il soit écrits à la première personne du singulier, ce qui est sympa mais lasse assez vite. Heureusement ici l’écrivain adopte un style plus naratif. La comparaison n’est sans doute pas la plus appropriée et parce-que le ton –ici- est plus légér et moins moraliste, les histoire moins poétiques et pas parabilques mais certaines nouvelles de cet ouvrage me font vaguement penser à des nouvelles de ‘Le K’ de Dino Buzzati. C’est sans doute à cause de l’aspect fantastique et tellement humain à la fois et des sujets abordés: la vieillesse, la mort. En même temps avec son humour et son ton léger elle pourrais incarnée la Roald Dahl moderne, l’aspect ‘arroseur arrosé’ en moins.
Peut etre est-ce simplement parce que Anne Duguël est une femme, que quasi toutes ces histoires raconte des histoires de femmes (ou de filles) et que je suis un homme que je trouve ces ouvrage toujours intéressant? Je ne sait pas, en tout cas, Anne Duguël, j’aime.
Voici donc un aperçu.
Benvenuto:
Dans une campagne éloigné d’amérique du sud, les gens économisent toute leurs vie pour se payer une petite poupée funéraire qui ne s’actionne que par le souffle de la mort. Quand elles se déclenchent elle elle vous font la réverence en vous souhaitant ‘Benvenouto’ et cei afin d’etre acceuilli le mieux possible dans le pays de l’ombre….
Âge de cendre:
Cette nouvelle-ci est une réponse à “Un Anniversaire” de Lisa Tuttle dans territoire d’inquiétude, 2. Je n’ai hélàs pas eu la chance d’avoir lu ce texte donc…. avis amateurs.
Noce transie:
Est l’histoire d’une femme qui tombe sur un roman racontant mots pour mots ces noces (transie).
Le cagibi:
L’auteur nous y entraine dans une horreur affligeante qui n’a d’égal que sa banalité pour esquiver au dernier moment, mais y échaperons nous y vraiment?
Little Alice:
La nouvelles la plus courte que j’ai jamais lue (elle est tellemnt courte que je doute que cela soit encore une nouvelle). Et ceci pour histoire de reflection infinie (!) provoqué par deux mirroir posé en vis-à-vis.
Le chien qui rit:
Marjorie rève depuis longtemps d’un chien. Le jour J elle se rend a la s.p.a. et tombe amoureuse d’un chien defiguré en ayant mordu un fil électrique.
La Joconde de bronze:
Bien que – pour une fois- l’histoire décrite est vécue par un homme je personnage principal n’en reste pas moins une femme.
Santa Maria de Soledad:
Est le nom d’un village noyé sous l’eau à cause de la contruction d’un barrage en aval.
Mémoires d’une aveugle:
…“Entre porter des fringues et aimer un homme, il n’y guerre de différence, poursuit Aurore sentencieusement. Tout deux te caressent, s’imprègnent de tes odeurs, épousent les replis les plus intimes de ta chair. Ça crée des liens indissolubles……..”
Nuits de Chine:
Hitoire d’un homme compulsif qui a du mal a assouvir ses fantasmes (être une femme).
Nos braves soldats du front:
L’auteur utilise ici un petit garcon pour illustrer la bétise de la violence et de la guerre.
Un berceau d’organi bleu:
Est une histoire sur la mémoire des objets.
In mémoriam:
Est un hommage a une certaine Mme Latour, libraire de son état et à la littérature en général.
L’auteur
Anne Duguël a travaillé dans le domaine du théâtrhe avant de se faire connaitre sous le nom de Gudule comme journalisten scénariste de bandes dessinés et auteur de contes pour enfants. Passionée de littérature “différente”, elle y apporte aujourd’hui une contribution à la fois originale et trés représentative de la mouvance du fantastique moderne.