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| | Infinity :
Comme pour certains, le style n'est pas ce que je regarde en premier chez un auteur de SF. |
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De plus en plus, c’est un facteur déterminant en ce qui me concerne.
Je ne demande pas à un auteur d’être un Maître du Verbe mais si je n’accroche pas à son style, je n’insiste pas (et ce, même si l’on m’assure des qualités de son univers fictionnel et de ses idées science-fictives).
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| | Infinity :
Pour autant, si je peux me permettre un avis sur le style d'un auteur c'est uniquement si celui-ci écrit dans la langue de Molière. Pour les romans en langue étrangère je m'abstiendrai car je me demande si la traduction donne réellement une idée exacte du style de l'auteur. |
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Il est vrai que, dans l’absolu, on ne devrait juger d’un style qu’en version originale…
Mais dans un domaine aussi marqué par les textes dans la langue de Shakesp..., euh, d'H.G.Wells, si l’on ne se permettait quelques facilités, on n’en parlerait guère du style en SF (déjà que…)
Et puis le travail d’un bon traducteur est de nous retranscrire au mieux ce qui fait la singularité de la voix et du style d’un écrivain ; et pour lire de plus en plus en V.O. des auteurs que j’avais abondamment lu en V.F., je les reconnais bien.
C’est peut-être dû à un défaut de perception, un manque de sensibilité proprement littéraire (ce n'est pas ma formation…), mais je préfère penser que c’est parce que je suis tombé sur de bons traducteurs ! ^^
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| | Infinity :
Je ne parle pas, bien entendu, des traductions catastrophiques |
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Une traduction catastrophique que j’ai rencontrée ce week-end : celle de l’interview de
Gregory Benford dans le numéro 333 de
Fiction.