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Sujet proposé le 04/01/2018 à 18h52 par Fiotox |
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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11/10/2018 à 15h29
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Valérian et la cité des mille planètes
De Luc Besson (2017)
Avec Dane DeHaan, Cara Delevingne, Clive Owen
Synopsis :
Au 28ème siècle, Valérian et Laureline forment une équipe d'agents spatio-temporels chargés de maintenir l'ordre dans les territoires humains. Mandaté par le Ministre de la Défense, le duo part en mission sur l’extraordinaire cité intergalactique Alpha - une métropole en constante expansion où des espèces venues de l'univers tout entier ont convergé au fil des siècles pour partager leurs connaissances, leur savoir-faire et leur culture. Un mystère se cache au cœur d'Alpha, une force obscure qui menace l'existence paisible de la Cité des Mille Planètes. Valérian et Laureline vont devoir engager une course contre la montre pour identifier la terrible menace et sauvegarder non seulement Alpha, mais l'avenir de l'univers.
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Après la destruction d'une espèce d'humanoïdes qui vivaient tranquillement sur leur planète par la faute des Terriens , les quelques survivants ont regagné la cité des mille planètes ou se côtoient toutes les races de la galaxie..
Mais un danger menace la cité ...
Valérian et Laureline nos 2 agents vont mener une enquête mouvementée pour trouver le danger qui menace tout ce petit monde ..
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Au final , j'ai bien aimé ce film aux nombreux effets spéciaux et au visuel agréable ..
Avec une histoire simple , qui aurait pu être plus passionnante , mais on peut malgré tout être assez satisfait du résultat pour quelqu'un qui ne connait pas trop la bd ....
Les nombreuses créatures crées par Besson donnent le ton à ce film au final agréable , malgré certaines longueurs ou moments un peu grotesques ....
Les fans de SF ne devraient pas être déçus ...
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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13/10/2018 à 11h12
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Downrange de Ryuhei Kitamura
J'avais vraiment bien aimé Midnight meat train (Clive Barker, que je ne goûte guère revu par Lovecraft), et surtout No one lives, un film assez classique de vengeance, avec une belle esthétique de la violence et de la cruauté.
Quand j'ai vu la bande-annonce, je suis resté dubitatif.
L'idée n'est pas mauvaise, mais faire tout un film là-dessus ? Vu qu'il sortait directement en dvd, je m'attendais à pas terrible.
Nous avons donc une bonne grosse série z, trucages pas terribles, acteurs oubliables, scénario bancal. Heureusement, la petite note d'ironie finale relève un peu le tout. Un film parfait pour se vider la tête en mangeant des pop-corns et en buvant du soda (si on aime ça, ce qui n'est pas mon cas).
Le pire film de son auteur, qui fait vraiment ce qu'il peut avec 3 bouts de ficelles et de mauvais acteurs.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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17/10/2018 à 15h23
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Upgrade de Leigh Whannell.
Une petite série B de SF bien rythmée.
Le récit reste un peu trop sur des rails à mon goût (avec un final inutilement sur-explicatif), ça manque un peu de trouble, mais dans l’ensemble c’est plutôt efficace.
| | | | | | Olivier :
(...) Ryuhei Kitamura
J'avais vraiment bien aimé Midnight meat train (...), et surtout No one lives, un film assez classique de vengeance, avec une belle esthétique de la violence et de la cruauté. |
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Bien aimé Midnight meat train, bien que la fin soit visuellement en deçà de ce que j’espérais.
No one lives ne m’a pas spécialement marqué par son esthétique (qui ne m’a pas déplu, ceci dit) et si l’histoire reste effectivement assez classique, le coup de l’arroseur arrosé, ça fonctionne toujours bien.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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18/10/2018 à 13h26
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Mayhem de Joe Lynch
Un jeune cadre dynamique, ambitieux et sans scrupule, se fait virer, parce que sa supérieure lui fait porter le chapeau pour une erreur qu'elle a commise.
Sauf qu'au moment de sortir du siège de sa boite, il se retrouve bloqué, mis en quarantaine. Le siège est en effet infecté par un virus qui a une particularité : désinhiber totalement les pulsions.
Sur fond de vague anticipation, Joe Lynch se livre à une réjouissante satire du monde du travail. Si le film n'est pas impérissable, il est parfaitement calibré pour être jubilatoire à souhait, avec tout un tas de crapuleries des uns et des autres, et une vision assez décapante du capitalisme, et une violence souvent assez rude, mais toujours compensée par un solide second degré.
Un divertissement parfaitement réussi.
Ni plus, ni moins.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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20/10/2018 à 11h29
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First man de Damnien Chazelle.
Le film se concentre sur Neil Armstrong, et sur la période de sa vie qui va le mener de la Terre à la Lune.
Il alterne entre la vie privée, les fêlures (la mort de sa fille d'un cancer en bas âge), et bien sûr l'exploration spatiale.
Nous y trouvons des passages assez angoissants (se retrouver dans l'espace entre quelques plaques de taule qui craquent), la réalité des missions Appolo (plusieurs morts, le risque de l'échec) jusqu'au moment ultime et à la fameuse phrase.
Le film n'ignore pas non plus le background de l'Amérique d'alors, où flambe la contestation contre la guerre du Viêt-Nam, la récupération politique des missions Appolo, les difficultés de financement par le Congrès, etc.
Le film trouve donc son équilibre entre la petite histoire d'un homme, et la grande histoire, en se collant à chaque fois au plus prêt de la réalité (jusque dans les tenues, les décors et les coupes de cheveux), la grandeur et la noirceur d'une mission qui devient presque la seule raison de vivre d'Armstrong, qui se désintéresse de tout, jusque de sa famille.
J'ai beaucoup aimé cet équilibre subtil, qui donne une dimension à la fois intime et grandiose au destin d'un homme banal, avec de beaux moments d'angoisse, et une apothéose sublime sur la Lune.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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23/10/2018 à 15h58
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Le pianiste de Roman Polanski.
Cela faisait longtemps qu’un film de Polanski ne m’avait convaincu ; celui-ci, présenté comme un chef-d’œuvre, je l’attendais de pied ferme et je n’ai pas été déçu : dès les premières scènes, on sent la possibilité d’un grand film et la suite le confirme.
Un film sans fausse note. ^^
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Section 99 ( Brawl in Cell Block 99) de S. Craig Zahler.
Ce film-là comporte un gros bémol : dans les dernières séquences, les plus gore, des trucages (des têtes artificielles) sont extrêmement voyants. imdb laisse entendre que ce serait une volonté du cinéaste, en hommage aux séries B « grindhouse » ; je ne trouve pas de lien qui en atteste mais si c’est bien le cas, la geekerie aura causé grand tort à un bon film...
Avant cela, j’ai préféré cette Section 99 au précédent film de Zahler (le western cannibale Bone tomahawk) car je trouve les protagonistes plus intéressants, moins schématiques.
En dehors de sa force de frappe (qui s’exprime d’abord aux dépens... d’une voiture), Vince Vaughn brille dans le rôle d’un personnage se distinguant par un curieux mélange d’obstination et de fatalisme (et distillant quelques touches d’humour, par des traits d’esprit jamais lourdement appuyés).
Par contre, quand les dialogues s’allongent, ils ont tendance à être sur-écrits : on sent parfois plus le scénariste qui s’écoute que les personnages qui parlent – syndrôme Tarantino ? ^^
Enfin, j’ai aimé cette série B au scénario très noir et à la réalisation sèche, sans afféterie.
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dernière édition : 23/10/2018 à 16h02
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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23/10/2018 à 16h22
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The house that Jack built de Lars von Trier
Je ne suis pas spécialement fan du réalisateur (j'avais trouvé Antichrist prodigieusement chiant), mais cette histoire de tueur en série m'intriguait, et en plus c'est avec Matt Dillon.
On peut grosso modo diviser le film en deux :
- La majeure partie du film, consacrée aux meurtres, qui est franchement parfois très gore. Et réussie.
- La fin, où le film m'a paru basculer dans un fantastique portnawak. Avec le recul, il prend au contraire une dimension dantesque (grâce à une habileté scénaristique, le tueur est en tenue rouge en enfer, comme Dante). Et ce qui m'avait laissé perplexe, cette errance infernale avant la fin du film, me parait au final très logique, et donne une dimension philosophique, quasi-silverbergienne (la quête de la rédemption).
Ce basculement a priori déconcertant et étrange m'apparait au final comme parfaitement réussi, et donne au film une dimension supplémentaire à celle d'un simple film de tueur en série, et éclaire la partie consacrée au meurtre avec une réflexion métaphysique sur la mal et la rédemption.
Donc, si vous voulez un film sur les tueurs en série, optez sans hésiter pour Henry de John McNaughton.
Si vous avez envie d'un truc plus surprenant, avec de beaux morceaux de violence bien saignante, mais au risque d'être déconcertés, laissez-vous tenter.
On ne voit pas passer les 2h et quelques que dure le film.
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Science-fiction, fantastique, fantasy : Culture SF, toutes les littératures de l'imaginaire
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