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Sujet proposé le 07/01/2016 à 13h47 par Jim |
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RE : En 2016, que tes avis ciné point ne taise.
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21/12/2016 à 17h33
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| | | | | | tj :
ouaip tu te fais des noeuds au neurones Jim |
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Ah ça, je veux bien te croire ;
mais je ne vois toujours pas à quel endroit je suis parti du mauvais côté...! ^^
Ce raccourci-là me choque moins, du fait que l'héroîne est à ce moment-là passée de l'autre côté de l'écran : il me semble qu'il y avait alors contact et une forme de transfert psychique avec l'alien..
| | | | | | tj :
Mais bon, film réussi quand même ! |
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Quand même, oui.
(Foutu sens critique : quand un film est bon, on regrette qu'il ne soit pas totalement abouti...)
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2016, que tes avis ciné point ne taise.
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24/12/2016 à 16h36
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| | | | | | Butch, sur le futur Blade runner 2049 :
Finalement, ça commence à gratter |
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Mince, je ne trouve rien qui me plaise dans ce teaser.
J’espère qu’il n’en sera pas de même avec la première bande-annonce d’ Alien Covenant car malgré le désastre que fut Prometheus, j’ai envie d’y croire (je garde un faible pour la charmante bestiole de Giger).
| | | | | | Olivier :
Ted Bundy de Matthew Bright.
Excellent jeu de Michael Reilly Burke, qui incarne l'un des pires tueurs en série
(…) Un bon film sur le sujet |
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Parmi les films sur les tueurs en série, je ne saurais trop conseiller L’étrangleur de Rillington Place ( 10 Rillington Place), remarquable à la fois par la force de son sujet, sa description d’une époque et d’un milieu, sa mise en scène magistrale (signée Richard Fleischer]) et sa formidable interprétation (Richard Attenborough à contre emploi, John Hurt dans un des ses premiers rôles).
Le film s’appuie sur le livre-enquête de Ludovic Kennedy (conseiller sur le tournage) qui participa à ce que la peine de mort soit abolie au Royaume-Uni.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2016, que tes avis ciné point ne taise.
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26/12/2016 à 00h53
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Je suis allé voir Premier contact. A la sortie, je n'avais qu'une envie, c'était de lire la nouvelle. Du coup, j'ai téléchargé le recueil qui est trouvable gratuitement dans sa version originale sur internet, pour mesurer les différences entre l'histoire initiale et cette adaptation ciné. Mais avant cette lecture, je voulais donner aussi un commentaire sur le film, à propos de ce que j'ai apprécié et de ce que j'ai "compris" (on va dire plutôt "interprété") de l'histoire en complément des commentaires précédents de Jim et tj. Pour ne pas spoiler, je l'écris aussi caché.
Il y a cette idée que le langage nous limite dans notre conception, notre perception du monde et du temps. Il y est peu question de communication vocale puisque rapidement les heptopodes et la linguiste vont communiquer par le biais de l'écriture. Leur écriture apparaît sous la forme d'effluves suggérant lors de la scène où elle se trouve seule avec eux qu'elle les comprend facilement par le biais de ces signaux chimiques, et non pas uniquement par le fait de son étonnante capacité à déchiffrer les arabesques circulaires qui leur servent de mode d'écriture.
Concernant les paradoxes soulevés par Jim, je suis moi aussi perplexe, je ne parviens pas à comprendre la raison qui pousse le général Chinois à donner son numéro de téléphone et lui dire les dernières paroles de sa femme à son chevet. Qu'est ce que cette histoire nous dit du Temps, qu'Il n'est pas une flèche linéaire, que la linguiste vit tout dans le même "instant", que le futur est déterminé? Je trouve ça très confus/basique/limité à moins que je n'ai pas compris.
Autant j'apprécie l'idée du "premier contact" et du langage comme vecteur et point d'orgue d'une prise de conscience et d'une compréhension nouvelle de l'univers, autant la révélation que propose le film sur la nature de ce bouleversement, dont la linguiste est la première à faire l'expérience, me semble assez limité, dans le sens où c'est de toute façon une idée humaine (oui on n'en sort pas). On entrevoie à peine les effets de cette transformation et de la distanciation du personnage entre ses réalités terrestres vécus à des instants différents.
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dernière édition : 26/12/2016 à 00h55
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RE : En 2016, que tes avis ciné point ne taise.
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27/12/2016 à 13h48
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Dear Mr. Gacy : un film intéressant, basé sur une histoire vraie.
Un étudiant en criminologie s'est inventé une nouvelle vie pour devenir le correspondant de John Wayne Gacy, et essayer de le comprendre.
La réalisation n'est pas d'une originalité mémorable, mais la performance de William Forsythe est tout simplement excellente.
| | | | | | Citation :
Parmi les films sur les tueurs en série, je ne saurais trop conseiller L’étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), remarquable à la fois par la force de son sujet, sa description d’une époque et d’un milieu, sa mise en scène magistrale (signée Richard Fleischer]) et sa formidable interprétation (Richard Attenborough à contre emploi, John Hurt dans un des ses premiers rôles). |
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Je le note, merci.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2016, que tes avis ciné point ne taise.
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31/12/2016 à 16h26
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Maniac de William Lustig.
Ce film m’a doublement surpris.
D’abord, la jaquette du dvd en donne une fausse image : de l’horreur graphique et un assassin sans visage ; alors que d’une part, le réalisateur évite le gore craspec inutile ( il restreint habilement ce qu’il montre des têtes scalpées ou explosées…) et que d’autre part, l’intérêt majeur de l’histoire réside dans la psyché détraquée du tueur (remarquablement interprété par Joe Spinnel, acteur au physique singulier qui a beaucoup travaillé au développement de son personnage).
Ensuite, je ne m’attendais pas à ce que le récit prenne un tournant aussi fantas(ma)tique dans son dernier acte.
Le film n’est pas un chef d’œuvre (il y a à mon avis de gros problèmes d’articulations scénaristiques dans l’intrigue impliquant le « héros » et la journaliste) mais reste très intéressant.
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Europa report de Sebastián Cordero.
Celui-ci aussi, il m’aurait surpris… si vous ne m’en aviez pas déjà dis du bien.
Quand, au début, il est question d’images « rétrouvées » et « déclassifiées », j’ai craint un instant une dérive brouillonne du genre found footage ; mais je fus très vite rassuré : la mise en scène, privilégiant le cadre aux mouvements de caméra, met bien en valeur la beauté de l’environnement d’Europa et de la technologie spatiale.
De même, si la caractérisation du personnage anglo-saxon (américain ?) à base de blagues et de pensées pour le fiston resté sur Terre pouvait présager du banal et du passablement lourd, ces cinq collègues bénéficient heureusement d’une approche moins classique, plus behavioriste.
Là encore, le film n’est pas un chef d’œuvre (la dernière partie souffrant d’une narration trop mécanique) mais dans le genre Hard SF à budget limité, ça fait clairement partie du haut du panier.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 31/12/2016 à 16h27
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