En 2018, un rythme de lecture inuit !

Après avoir jubilé en lisant "14 juillet" où Éric Vuillard revisit la prise de la Bastille à l'aune de son principal acteur, la foule des anonymes, je commence "Hével" de Patrick Pécherot. Et tout de suite, c'est très bien.

J'attaque Super-Canne de Ballard avec un sourir aux lèvres puisque les personnages passent par le palais idéal du facteur cheval, à un jet de pierre de chez moi.

J’ai commencé la passionnante correspondance entre André Breton et Benjamin Péret, que je tiens pour deux écrivains majeurs, ayant eu les idées claires dans de troubles périodes.
Les quelques lettres de Péret sur la guerre d’Espagne (qu’il fît dans le camp antitotalitaire) sont passionnantes, y compris pour comprendre les remous du surréalisme, à commencer par les débuts de la brouille définitive avec Eluard (écrivain que je n’ai jamais aimé, comme Aragon).

Petite pause pour me lancer dans Une petite ville en Allemagne, qui me permet de me replonger dans l’oeuvre de Le Carré.

		Butch : Super-Cannes de Ballard

Guère apprécié au sein de la bibliographie de l'auteur, j'ai l'impression...
Malgré quelques longueurs, il m'avait bien plu.

(C'est le suivant, Millenium people, qui m'avait beaucoup déçu.)

		Citation : (C'est le suivant, Millenium people, qui m'avait beaucoup déçu.)

Une vraie bouse.

Que notre règne arrive était pas mal aussi, niveau médiocrité. Quoique bien mieux écrit, notamment les premières pages, avec la description du centre commercial.

Quelle est l'expression consacrée déjà ? Oldies but goldies, je crois.
Adonc, je me suis lancé dans la lecture de Ce monde est nôtre de François Bordes (aka Francis Carsac) et, ma foi, ce n'est pas mal du tout, voire même très bien.

Winslow ! Winslow !

Toxique de Niko Tackian .

Après Enfants de la terre et du ciel, de Guy Gavriel Kay (que j'ai nettement préféré à son Fleuve céleste), j'ai commencé en parallèle The Rook, de Daniel O'Malley, La ligue des héros, de Xavier Mauméjean, et L'empire du léopard, d'Emmanuel Chastellière.

		LeGaidol : Adonc, je me suis lancé dans la lecture de Ce monde est nôtre de François Bordes (aka Francis Carsac) et, ma foi, ce n'est pas mal du tout, voire même très bien.

Ils font décidément de chouettes rééditions chez L'arbre vengeur...

Ce Carsac, je ne l'ai pas lu mais en ai toujours entendu dire du bien.