En 2018, un rythme de lecture inuit !

Nocturnes de Laurent Fétis .
Voilà un très bon roman bien glauque qui nous entraine dans les pires perversions de l'espèce humaine ....le personnage principal aux portes de la folie mène une enquête macabre ...
Seul petit bémol peut -être , une fin qui chavire dans le fantastique ...

Le compagnon secret et La compagne secrète, respectivement de Joseph Conrad et Robert Silverberg, sont tous deux très bons.

(Silverberg est décidemment très fort dans le format de la novella...)

Hamilton, c'est sympa cinq minutes.
Je pense que ma lecture se limitera au premier tome de la série.

Du coup, je suis dans La grande oeuvre du temps, recueil de John Crowley.

Honky tonk samourais de Joe Lansdale.
On retrouve dès le début sa plume absolument jouissive.

Les maléfices du temps de Michel Rozenberg ....sera vite oublié ... :/

Le signal - Maxime Chattam
Lecture bouclée, le roman est bourré d'influences revendiquées, issues de l'univers de Stephen King (en particulier de "cà").

		Citation : Le compagnon secret et La compagne secrète, respectivement de Joseph Conrad et Robert Silverberg, sont tous deux très bons.

Un lien ?

Sinon, Bonheur tm de Jean Barets en cours de lecture. Au moins là les schémas sont faciles à identifier, si vous voyez ce que je veux dire ...

		bruss : Les maléfices du temps de Michel Rozenberg ....sera vite oublié ... :/

J’avais trouvé ça très classique mais pas mauvais pour autant.
Remarquez, j’avais tellement détesté la nouvelle de cet auteur dans l’anthologie Les mondes de Masterton que tout autre de ses œuvres ne pouvait que me sembler bonne, en comparaison.
Quoi qu'il en soit, je ne garde absolument aucun souvenir des récits du recueil.

		soleilvert : Un lien ?

Absolument.
Silverberg revendique avoir fait une version SF du texte de Conrad : on y retrouve un jeune capitaine de vaisseau qui se trouve plus d’affinités avec le passager clandestin
qu’il cache qu’avec son équipage.
Outre le changement de genre, sa nouvelle comporte suffisamment de variations pour ne pas paraître redondante.

		Olivier : La grande œuvre du temps, recueil de John Crowley.

Quelques mots sur ce livre ?

Il m’a longtemps fait de l’œil depuis l’étagère d’une librairie toulousaine...
C’est qu’ils sont souvent très beaux les Rivages/Fantasy :

		lacroute : Le signal - Maxime Chattam (...) le roman est bourré d'influences revendiquées, issues de l'univers de Stephen King (en particulier de "çà").

Un peu d’opportunisme de la part de l’auteur, de livrer ce roman entre les deux parties de l’adaptation cinématographique ?

C'est marrant, j'ai vu le n°1 du "çà" récent sur DVD prêté, il est mieux filmé que le téléfilm d'antan mais ne m'a pas plu autant. Le bouquin est une merveille qui inclut, roman dans le roman, une magnifique évocation de l'enfance. Rien au final ne le dépassera. Quand à l'opportunisme supposé, Dan Simmons en a fait tout autant en glissant Drood au creux de l'année Dickens et çà ne m'a pas stoppé (smiley sourire)