En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...

oui, le mot supplication prend tout son sens.
Et la scène avec la paysanne qui refuse de partir et déballe tout depuis la révolution, la guerre, Staline etc.

En résumé, le meilleur « film » d’horreur qui soit.
Je n’ai pas pu dépasser le premier épisode tant je me sentais mal de ce que je voyais et de ce que je présageais de la suite. Le coffret dvd restera rangé jusqu’à ce que je tombe un jour suffisamment dans le désespoir, ce que je n’espère pas, pour m’en ajouter une dose supplémentaire. Je suis curieux de connaître la qualité de votre sommeil après le visionnage de cette série ? :-)

Que du bon avec Kitano et Tchernobyl!

		Citation : Je suis curieux de connaître la qualité de votre sommeil après le visionnage de cette série ? :-)

Une interrogation surtout, la capacité des russes et ex-soviétiques à endurer indéfiniment ces horreurs, chacune en engendrant une nouvelle, comme la séquence des chiens dans l'appartement.

A peu près aux mêmes horaires de programmations l y avait "on a perdu le soldat Ryan" et là tu vois la différence entre Hollywood et une docu-fiction où rien n'est surjoué

il faut sauver le soldat Ryan :)

		Citation : Je suis curieux de connaître la qualité de votre sommeil après le visionnage de cette série ? :-)

Excellent , comme d'habitude , pourquoi ?

		Citation : Une interrogation surtout, la capacité des russes et ex-soviétiques à endurer indéfiniment ces horreurs, chacune en engendrant une nouvelle, comme la séquence des chiens dans l'appartement.

Ce n’est pas le pays d’Ivan le terrible et du bolchevisme pour rien.

Méandre de Mathieu Turi.
Prise en stop par un tueur en série, une jeune femme se réveille dans un labyrinthe truffé de pièges.
On sent que le réal a vu Alien, Cube et Saw. Son film verse dans le survivor claustro, et c’est pas mal du tout.
Par contre, j’ai détesté la fin.

D.A.R.Y.L., un film de sf spielbergienne sans grande prétention, mais qui reste un agréable divertissement, qui a plutôt bien vieilli, grâce à son peu d’effets spéciaux.
La course à l’IA entre la Chine et les USA donnent une certaine actualité au propos.

Grosse déception pour le Romero.
Il s’agit d’une commande d’un organisme de charité chrétienne.
A part quelques passages de satire parfois burlesque, et quelques hallucinations, le film tourne à vide et s’achève dans un discours moralisant (les boomers n’ont que mépris pour les anciens, ah que c’était mieux avant).
Une curiosité tout au plus.