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Sujet proposé le 03/01/2021 à 14h11 par Jim |
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RE : En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...
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27/10/2021 à 22h33
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Grand Retour au cinema 2 : Dune
Coupons court au suspens : j'ai adoré . Je n 'ai retrouvé rien de ce qui me donnait des boutons dans la BA . Ca va faire la deuxieme fois en plus de 20 ans que je me retrouve a aimer un film que j ,avais decide mordicus de ne pas aller voir (avec LOTR) , le score est honorable . A contrario de Foundation dont le BA m'intriguait fort , et dont le resultat final me decoit ...
PS : comme ma douce était interessée et que l'experience cinematographiqueuuu toussssa, j Iacherché des places en IMAX. Avec des dates de sortie debiles , choc frontal avec les autres mastodontes : sur les deux salles potables en IMAX, l'une a decide de favoriser le ballatre en smoking et ses cocktails douteux , l'autre ne le maintient qu'une semaine a l'affiche avant de passer a Eternals ! Resultat : tout est booké sur la semaine et j 'ai du trouver une seance a midi ...
PSPS : la musique ne m'A pas gené , je n 'ai pas reconnu les instrumentaux de la BA . Par contre faut aimer car elle est omnipresente ( c'est mon cas ) et c 'est fort ( pour le coup sur certaines scenes ca fait IMAX + DBOX en un )
PSPSPS : C,est moi ou VIlleneuve suit pas mal de fois le script et le decoupage du Lynch? . Certaines scenes sont pratiquement refaites plan pour plan ! Le Gom Jabbar etant ici plus jouissif
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RE : En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...
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02/11/2021 à 15h24
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La fracture de Catherine Corsini.
Valeria Bruni-Tedeschi, dont le couple est en crise, se casse le bras en pleine rue.
Elle se retrouve à l'hôpital avec Pio Marmaï, gilet jaune grièvement blessé à la jambe.
Sauf que l'hôpital est en pleine capilotade, et ne tient que grâce au sacrifice d'un personnel sous-payé, qui fait face comme il peut aux nombreuses pénuries (de personnel, de médicaments, etc.).
Ce film sur les crises françaises (effondrement de l'hôpital, gilets jaunes, déclassement des classes moyennes, etc.) traite son sujet avec beaucoup d'humanité et une bonne dose de burlesque (Bruni-Tedeschi est hilarante, notamment lors de sa radio du bras ou de l'accouchement ; Pio Marmaï est excellent, comme d'habitude).
Bref, pas de sf, mais un regard résolument humain sur la France d'avant-Covid (et d'après-Covid, puisque les problèmes restent).
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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dernière édition : 02/11/2021 à 15h27
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RE : En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...
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07/11/2021 à 10h02
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Upgrade de Leigh Whannel, à qui l'on devait l'excellent Invisible man, qui réinventait avec un brio méphitique le thème de l'homme invisible, avec un zeste de hard-sf dedans.
Ici, nous sommes pleinement dans la sf : un futur proche où l'IA conduit la plupart des voitures, où les tables servent de tablette et de smartphone, etc.
Suite à un accident de sa voiture autonome, le héros tombe dans un guet-apens : sa femme est tué, et il se prend une balle dans la colonne vertébrale qui le rend tétraplégique.
Il en est réduit à faire son deuil et ruminer sa vengeance, immobilisé dans un fauteuil roulant, tel Stephen Hawking.
Jusqu'au jour où un ami lui propose une opération inédite et risquée : implanter une puce qui lui permettra de pouvoir à nouveau marcher.
Miracle, cela marche.
Mais la puce se met à communiquer avec son hôte, et lui propose de l'aider à réaliser sa vengeance.
Voilà résumé à gros traits le film.
On y retrouve tout un tas d'éléments d'anticipation, à commencer par les puces implantées. L'acteur principal est remarquable dans sa gestuelle, notamment quand la puce prend le contrôle de son corps.
Le scénario a de forts sympathiques accents dickien, et la fin cueille le spectateur de façon remarquable, en ouvrant la porte à l'horreur.
Ajoutons à cela que les scènes de combat, parfaitement dosées, sont aux antipodes de l'ennui kitsch d'un Mat'rix. On retrouve aussi une ville qui n'est pas sans rappeler le Blade runner de Ridley Scott.
Bref, c'est un vraiment un excellent film, qui confirme que le bonhomme est décidément un réal à suivre impérativement.
Le cinéma n'est pas encore condamné aux blockbusters de Marvel, et c'est à des réalisateurs comme Leigh Whannel, qu'il le doit.
Oui, on peut encore faire d'excellents films qui tiennent en moins de 100 minutes !
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...
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11/11/2021 à 09h16
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| | | | | | Olivier :
Upgrade de Leigh Whannel, à qui l'on devait l'excellent Invisible man, qui réinventait avec un brio méphitique le thème de l'homme invisible, avec un zeste de hard-sf dedans.
(...) On y retrouve tout un tas d'éléments d'anticipation, à commencer par les puces implantées. L'acteur principal est remarquable dans sa gestuelle, notamment quand la puce prend le contrôle de son corps.
Le scénario a de forts sympathiques accents dickien, et la fin cueille le spectateur de façon remarquable, en ouvrant la porte à l'horreur. |
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J'aimerai partager votre enthousiasme pour les œuvres de Leigh Whannel mais elles me laissent encore un goût d'inachevé.
Est-ce parce que ce vieux complice de James Wan, en mâtinant sa sf d'horreur, explore un territoire qui m'intéresse tout particulièrement, que je suis plus exigent ? Quoi qu'il en soit, si j'ai passé de bons moments devant Upgrade et une partie d' Invisible man, que j'y trouve bien des qualités (rythme, efficacité, haute tenue des premiers rôles...), j'y vois aussi des faiblesses qui m'empêche de m'emballer (facilités scénaristiques, inégalité de la mise en scène où des séquences saisissantes voisinent avec d'autres qui me semblent étonnamment paresseuses...)
| | | | | | Olivier :
(...) Le cinéma n'est pas encore condamné aux blockbusters de Marvel (...) on peut encore faire d'excellents films qui tiennent en moins de 100 minutes ! |
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+1
ça fait plaisir que voir encore en salle ce genre de thrillers resserrés, à base de scénarios originaux.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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