En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...

		Citation : Upgrade

J'étais mitigé aussi, mais vous me l'avez fait regarder une deuxième fois, et disons que, au deuxième visionnage, ma note est passé de 12 à 14/20 ^^

ben 14/20 parles temps qui courent c4est rare!

My Name Netflix 1 saison - 8 épisodes .

Synopsis :
À la recherche du meurtrier de son père, Yun Ji-woo, une jeune femme motivée par la vengeance, intègre le puissant gang Dongcheon en faisant équipe avec le chef, qui va lui permettre de s'infiltrer au sein de la police pour en savoir plus sur la mort de son père.

Elle est ainsi affectée à la brigade des STUPS, où elle doit faire équipe avec son nouveau coéquipier, l'inspecteur Jeon Pil-do.

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Voilà encore une série Coréenne vraiment bonne . Sur un thème classique , une histoire , bien menée efficace au possible et très violente . Les acteurs sont bons , les scènes de combats bien faites , juste un petit reproche dans les derniers épisodes , la musique sirupeuse entêtante et les nombreux gros plans trop longs ...mais ce n'est qu'un détail tellement on est pris dans l'histoire .

Terminé en binge-watching American horror story : Asylum.
Excellent de bout en bout, avec de nombreux clins d'oeil (de X files à Massacre à la tronçonneuse).

Le dernier James Bond est vraiment completement debile ! (plus que la moyenne s 'entend )

Gemini man d’Ang Lee.

Une grosse machine d’action/SF qui s’appuie sur la technologie, très prisée mais pas encore au point, du rajeunissement numérique des visages : ici, Will Smith et son clone jeune homme.

Le scénario ne surprend pas une seconde le spectateur, et encore moins l’amateur de science-fiction.
Toutefois, de bonnes choses surnagent : les premières séquences d’action (Ang Lee montre, comme d’autres réalisateurs de sa génération encore actifs, que la nervosité peut très bien aller de pair avec la lisibilité…) et Marie-Elizabeth Winstead dans un rôle alliant charme discret et combativité convaincante qui annonce l’orientation récente de sa carrière vers des films où ça cogne…

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L’ambulance de Larry Cohen.

Annoncé comme un film d’horreur, c’est plutôt un thriller d’action.
Malgré des seconds rôles comiques bien décalés (dont James Earl Jones), c’est très oubliable.

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Le métro de la mort (Death line) de Gary Sherman.

Sous ce titre très bis se cache un petit film qui ne manque pas d’intérêt.

Des défauts : un manque de moyens qui se retrouve dans le rendu de quelques scènes d’action et maquillages ; l’ajout, pour le marché international, d’un jeune héros américain joué par un acteur assez fade (vachard, son frère, producteur, dit de lui que s’il jouait très bien la comédie enfant, adulte il aurait « mieux fait de vendre des voitures »…^^)

Des qualités : des seconds rôles très plaisants (Donald Pleasence s’amuse visiblement comme un petit fou dans le rôle de l’inspecteur facétieux – qu’il aurait largement récrit
– et sa brève confrontation avec Christopher Lee est savoureuse) et surtout une volonté louable de ne pas déshumaniser son monstre, créature parfois plus pathétique (il connait la douleur du deuil) qu’effrayante.
Le film se permet aussi une audace de mise en scène plutôt rare dans une série B : un lent travelling de près de sept minutes détaillant l’antre de la bête (et le beau travail des techniciens)…

Il se dit que ce film serait le premier à placer une histoire d’horreur dans le décor du métro (londonien). Lors de sa construction, de nombreux ouvriers auraient perdu la vie, dans des éboulements, les maîtres d’œuvre rechignant à déclencher de coûteuses opérations de sauvetage. Le scénario imagine que certains auraient survécus (et dégénérer) par le cannibalisme. ..

		Citation : Le dernier James Bond est vraiment completement debile ! (plus que la moyenne s 'entend )

+ 1.
La séquence finale, sur l'île est totalement ridicule. Le pire restant Ben Whishaw dans son avion, qui a vraiment l'air de se demander ce qu'il fout ici.

Six String Samouraï, sans conteste une série B voire Z - donc que je ne recommande pas - qui a un plot pas piqué des vers :
1957, l'URSS a envoyé ses bombes sur les USA. Il ne reste qu'un monde dévasté, et une seule ville "Lost Vegas" dont le roi, le King, est - évidemment - Elvis Presley. Celui-ci vient de mourir, et l'on attend le nouveau roi. Une foule de sosies de Buddy Holly - dont le héros - tente de rejoindre Vegas, tous poursuivis par la Mort, qui veut les éliminer pour instaurer le règne du Heavy Metal... le tout à coup de guitares et de combat d'arts martiaux...

des gusses en ont sorti une version 4K... !

Deutschland 83 (2015)

Je viens de terminer cette série et j'ai été enthousiasmé du début à la fin . Une histoire d'espionnage pendant la guerre froide , mais pas que , l'ensemble est vraiment bien fait , reconstitution de l'époque , bande son et acteur , difficile d'y trouver un défaut ...
J'espère que les suites Deutschland 86 et 89 seront de la même qualité .

		morca : Six String Samouraï (…) a un plot pas piqué des vers : (…).Il ne reste qu'un monde dévasté, et une seule ville "Lost Vegas" dont le roi, le King, est - évidemment - Elvis Presley. Celui-ci vient de mourir, et l'on attend le nouveau roi. Une foule de sosies de Buddy Holly - dont le héros - tente de rejoindre Vegas, tous poursuivis par la Mort, qui veut les éliminer pour instaurer le règne du Heavy Metal... (…)

O_o


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Hannibal, Saison 2
(pour faire la jonction entre les saisons 1 et 3 que j’ai déjà vues. ^^)

Impressions mitigées.

Le personnage de Will Graham, le profiler psychotique, prend de l’épaisseur (ce que j’appréciai car je commençais à le trouver caricatural, en fin de saison 1).

Par contre, le Dr Lecter, d’un goût toujours exquis, tend à devenir pénible à parler sans cesse en aphorismes.

Puis il y a cette ficelle scénaristique qu’on retrouve souvent dans les séries, employée ici à plusieurs reprises, et qui commence à me taper sur le système : faire croire à la mort d’un personnage (quitte à omettre des scènes qui s’inscriraient logiquement dans la progression de l’intrigue, histoire de ne plus y penser avant la révélation de sa
« résurrection »).

Enfin…, la saison comporte quand même son lot de moments forts et réjouissants.

Elle débute par un flashforward où Hannibal et l’agent Jack Crawford, jusqu’alors amis et convives, en viennent aux mains : la séquence, brutale, ne manque pas d’impact.
S’ensuit une première enquête qui propose des visions horrifiques saisissantes, autour de la constitution d’une « fresque humaine ».

La saison marque aussi l’apparition de Mason Verger, personnage particulièrement odieux (et encore, contrairement au roman, on ne dit pas qu’il est un violeur d’enfant – quoiqu’il les fasse volontiers pleurer afin de récupérer leurs larmes sur ses mouchoirs, pour relever le goût de ses Martinis…)
J’attendais avec circonspection la scène de sa défiguration (dans le film de Ridley Scott, le court flashback aux ton sépia m’avait laissé sceptique) et elle est plutôt bien traitée, jouant habilement de la pénombre.