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Fini l’Anderson.
Pour être honnête, ce ne fût pas une bonne surprise, mais une excellente surprise !
Je suis totalement sidéré que des textes d’une telle qualité, datant essentiellement des années 50 et du début des années 60 aient dû attendre si longtemps pour être traduits et qu’ils aient été si peu repris depuis.

Jim, Soleil vert ou Le Gaidol, n’hésitez pas.

Fini les Lettres du mauvais temps de Jean-Patrick Manchette.
Sublime.

		Citation : Fini l’Anderson. Pour être honnête, ce ne fût pas une bonne surprise, mais une excellente surprise ! Je suis totalement sidéré que des textes d’une telle qualité, datant essentiellement des années 50 et du début des années 60 aient dû attendre si longtemps pour être traduits et qu’ils aient été si peu repris depuis. Jim, Soleil vert ou Le Gaidol, n’hésitez pas.

Merci Olivier.
Pourquoi Le Bélial n'a pas repris cette antho et en a concocté une autre (Le chant du barde) ?

		Citation : Merci Olivier. Pourquoi Le Bélial n'a pas repris cette antho et en a concocté une autre (Le chant du barde) ?

Bonne question.
L'antho du Bélial ne reprend qu'un texte de cette antho. Le Bélial a repris presque tous les textes primés d'Anderson, et le bouquin doit faire dans les 500 pages. C'est déjà assez costaud.

Le rat d'école - Serge Lapouge .

		Olivier : Le barde du futur de Poul Anderson. Textes choisis et magnifiquement présentés par Marc Duveau.

Les nouvelles de Poul Anderson, j'y tourne autour sans jamais prendre le temps de m'y pencher sérieusement.À l'exemple de cette anthologie, dont j'ai lu (et aimé) le premier texte, Les enfants de demain, mais n'ai pas poursuivi... Je m'y remettrai.

Les furies de Keith Roberts, auteur beaucoup trop oublié, ce qui est fort regrettable.

Noir de Marc Falvo.

Charisme de Coney est un bon petit polar avec des morceaux de SF dedans. Par les personnages et l'ambiance, on est assez proche de Péninsule. Si ce dernier à des relents Ballardiens, Charisme se rapproche plus de Priest.

J'aborde La voie marsienne d'Asimov.

		Citation : Le barde du futur de Poul Anderson. Textes choisis et magnifiquement présentés par Marc Duveau. L'as-tu lu, ce Poul, BC ?

Excuse le retard de la réponse, j'étais en balade (au festival de cinéma de la Rochelle).
Non, je ne l'ai pas lu et je ne le connaissais pas d'ailleurs. Je vais essayer de le trouver vu ce que tu en dis.