|
|
|
|
|
|
Sujet proposé le 06/01/2022 à 16h26 par Olivier |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
| | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
17/08/2005
| |
|
|
|
|
5869
messages | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
RE : En 2022, que le cinéma ne soit pas cafardeux
|
03/02/2023 à 13h28
|
|
|
| |
|
|
| |
|
| | | | | | Butch :
Je viens de terminer en famille la Saison 3 de Jack Ryan. Puis je me suis repassé à la poursuite d'octobre Rouge.
Question charisme des personnages, ça pardonne pas. |
| | | | | | |
J'imagine...
Dans le McTiernan, il y en avait du charisme au m³ de sous-marin : Sean Connery, Scott Glenn, Sam Neill, Stellan Skarsgård, et j'en passe.
-------------
Vu (ou revu ; j'ai un doute...) Le chat à neuf queues de Dario Argento.
C'est bien terne pour du Argento 70s, dans l'intrigue comme dans la mise en images.
Un bon point néanmoins : à la différence de trop de ses films, les acteurs principaux (Karl Malden en aveugle, la charmante Catherine Spaak...) ne jouent pas mal.
C'est aussi, d'après mes souvenirs, le seul film d'Argento qui comprenne une poursuite automobile (plutôt réussie au demeurant, et où, fait rare pour l'époque, l'as du volant est une femme).
|
|
| |
|
"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
| | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
17/08/2005
| |
|
|
|
|
5869
messages | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
RE : En 2022, que le cinéma ne soit pas cafardeux
|
07/02/2023 à 15h14
|
|
|
| |
|
|
| |
|
Robocop de Paul Verhoeven était rediffusé ce dimanche soir sur arte ; j'en ai profité pour le revoir.
Ça reste un sacré morceau de cinéma de science-fiction, à mon avis.
Le récit est riche (action, introspection, satire), la mise en scène impeccable, le casting, à l'avenant et, à mes yeux, les saccades dans l'animation de la machine ED-209 ne la desserve pas mais lui donne un côté assez effrayant.
Je trouve l'humour dans les dernières séquences, celles des confrontations finales, un peu trop appuyé, moins équilibré avec les autres tonalités du film que dans ce qui précède ; mais c'est bien le seul bémol que j'ai pu relever...
----------
Un peu maso, j'ai aussi revu La terza madre de Dario Argento.
Ça reste un mauvais film, tellement inférieur, et plus laid, que Suspiria et Inferno.
Néanmoins, le temps d'une ou deux scènes (l'arrivée dans la demeure de la Mater Lacrymarum, où la caméra épouse amoureusement le décor en clair-obscur, voire le passage final dans l'immondice, qui peut évoquer Phenomena), palpite encore le talent du Dario de la grande époque...
PS : j'avais complètement oublié la présence de Daria Nicolodi, vingt ans après Opera (où il est connu que Dario avait été particulièrement dur en coulisses avec son ex-femme, qui avait accepté de tourner uniquement parce qu'elle était convaincue, à la lecture du scénario, que sa dernière scène serait mémorable – elle avait bien raison !)
Ça fait plaisir que père, mère et fille aient finalement pu se retrouver pour un film en commun.
|
|
| |
|
"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
|
|
|
|
dernière édition : 07/02/2023 à 15h21
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
| | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
02/09/2004
| |
|
|
|
|
9478
messages | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
RE : En 2022, que le cinéma ne soit pas cafardeux
|
08/02/2023 à 10h15
|
|
|
| |
|
|
| |
|
Le piège de David Schmoeller.
Suite à une panne de voiture, des touristes sont obligés de s'arrêter au milieu de nulle-part, et de demander de l'aide au seul habitant du coin. Petit à petit, ils commencent à disparaitre, victime d'un mystérieux tueur masqué aux pouvoirs télékinétiques.
Un petit film remarquable, qui se situe dans la lignée de Psychose et Massacre à la tronçonneuse.
Sorti en même temps que Halloween de Carpenter, il reprend le tueur masqué, sans aucune émotion visible. La présence de mannequins accroit d'ailleurs cette dimension, et joue de façon remarquable avec les nerfs du spectateurs.
Les effets spéciaux, tous mécaniques, sont absolument remarquables. Mention spéciale à la scène du bras et de la tête, à la fin du film, et à la première mort, avec tout ce qui part de l'armoire.
Bref, un film et un cinéaste à redécouvrir.
A noter, un Chuck Connors qui ressemble vaguement à Robert Redford :
Et un tueur qui rappelle Leatherface :
| | | | | | Citation :
que sa dernière scène serait mémorable – elle avait bien raison !) |
| | | | | | |
Une scène monumentale, en effet.
Dans les bonus, Argento explique les incroyables difficultés de cette scène, et c'est passionnant.
|
|
| |
|
"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Science-fiction, fantastique, fantasy : Culture SF, toutes les littératures de l'imaginaire
© Culture SF 2003 / 2014 - Conception et réalisation : Aurélien Knockaert - Mise à jour : 08 juin 2014
nos autres sites : APIE People : rencontres surdoués - Traces d'Histoire
|
|
|
|
|