En avril, attaque-toi à ta pile

		KAAN : Faux Gui, Dome est un très bon Stephen King, car derrière l'argument fantastique, c'est une dissection de la société américaine de base qu'il nous livre. Pas l'Amérique des grandes villes mondialisées, mais de l'Amérique à la marge... Deux tomes qui se dévorent.

C'était déjà le cas dans Cujo, paru en 1981, au moins de manière implicite, ainsi que dans nombre de ses autres écrits, courts ou longs – je pense en particulier à sa nouvelle Les Enfants du Maïs qui dénonce les fous de Dieu, et il y en a d'autres...

Après un excellent Duma Key je m'attaque (en faite je ré-attaque) Shining du même Stephen King
Après je m'attelle a lire "Les Tommyknockers". Roman chroniqué sur le site d’ailleurs...

		Citation : C'était déjà le cas dans Cujo, paru en 1981, au moins de manière implicite, ainsi que dans nombre de ses autres écrits, courts ou longs – je pense en particulier à sa nouvelle Les Enfants du Maïs qui dénonce les fous de Dieu, et il y en a d'autres...

C'est même un peu le cas dans tous ses romans, non ? Dès Carrie, en tous cas.
Je n'ai pas le souvenir de beaucoup de textes se déroulant dans une ville de plusieurs millions d'habitants (à part Un élève doué). On est souvent dans le Maine, ou dans un coin semblable, à l'urbanisation encore modérée.

T'as raison de lire Shining : la suite sort l'an prochain !!!!!
(et King viendrait en France en avril 2013 paraît-il...)

Je me demande qui adaptera la suite au ciné !
Blague à part, Shinning est un excellent King, quoique sensiblement différent du film de Kubrick, et certainement l'une des ses oeuvres les plus personnelles.

Suite litteraire Olivier...
Et oui, un de ses plus persos notamment le pb de l'écrivain confronté à l'alcool...
Quant à l'adaptation de Kubrick, je ne suis pas fan.

Hâte de voir Danny grand avec le Don mature...

		Olivier : C'est même un peu le cas dans tous ses romans, non ? Dès Carrie, en tous cas. Je n'ai pas le souvenir de beaucoup de textes se déroulant dans une ville de plusieurs millions d'habitants (à part Un élève doué). On est souvent dans le Maine, ou dans un coin semblable, à l'urbanisation encore modérée.

C'est très exactement ce que je voulais dire : King a toujours fustigé la ruralité américaine, il n'y a donc rien de nouveau dans l'ouvrage que citait KAAN...

Ahh, King, de mémorables cauchemars nocturnes à 12 ans, grâce à Simetierre...
Ma phobie persistante des clowns, des bateaux en papier...
Et le pire c'est que j'en redemandais.
Le dernier King que j'ai pu terminer après plusieurs tentatives (il n'a pas fait que du bien au genre): histoire de Lisey.
GFS