En février, lis, ça t'évitera de geler...

En fait, je voulais juste lancer le titre pour une fois...
DONC CORNES DE JOE HILL.
très bien pour le début, le héros peut entendre les pensées des gens, il s'en prend plein la figure et de temps en temps parvient à se venger en rusant....
A voir si ça ne s'essouflera pas sur le long terme.

La couronne des esclaves, de Weber :-).

Fini L'Incal. Bilan contrasté. Au début, l’œuvre est foisonnante. Les auteurs brassent allégrement de nombreux thèmes SF pour aboutir à un univers vaste et délirant au service d'une grande aventure spatiale. Un pur régal. Mais vers la fin, le couplet mystico-religieux m'a rapidement exaspéré et la conclusion est l'horripilante asctuce scénaristique préférée des auteurs qui ne savent pas comment terminer leur histoire. Je suis déçu.

Sérial victime de Sylvie Picard et L'assassinat de Don Juan de Gilbert Tanugi

		Citation : Fini L'Incal. Au début, l’œuvre est foisonnante.... vers la fin, le couplet mystico-religieux m'a rapidement exaspéré

Tout à fait, c'est ça.. l'incal, c'est le début de la fin de moebius

Baby leg de Brian Evenson, qui rappelle La confrérie des mutilés, dont il serait en quelque sorte un concentré. J'adore !

		morca : Tout à fait, c'est ça.. l'incal, c'est le début de la fin de moebius

Mouais... Au début, c'est quand même Jodorowski qui n'a pas su terminer son histoire, comme d'habitude à vrai dire : il nous a fait le même coup avec Alef-Thau et La Caste des Méta-Barons, pour citer les plus connus et les plus décevants. Mœbius n'a fait que tenter de recoller les morceaux de l'Incal, et c'est clair que ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux.

Les Seigneurs des sphères de GALOUYE. Pas mal du tout sauf sur la fin ou le récit s'embrouille dans des considérations méta-psycho- chosouilles un peu caractéristiques de l'époque ...
La parallèle Vertov de celui-dont-on-ne-prononcera-pas-le-nom-ici .
Un premier roman assez prometteur , avec ses défauts et ses qualités . Un bon boulot d'éditeur en aurait fait quelque chose de sympa ...Mais à partir du milieu , le rythme se casse , les monologues ( internes ) foisonnent , et on sent que l'écrivain délaye souvent sa prose pour laisser la place à l'historien qui étale un peu trop sa confiture .
Dommage . Je jetterais un coup d'oeil à la suite , à l'occasion !

Barjot d'Oppel : on sent beaucoup la patte de Manchette, même si l'auteur est loin d'égaler le maitre.

Fini Le diapason des mots et des misères de Jérôme Noirez.
Sentiment mitigé.
Autant je suis touché par ses courtes nouvelles horrifiques centrées sur l'enfance (Nos aïeuls, Shirley's doll, l'Enfer des enfants pas sages), autant je me lasse vite de ses plus longs textes de registre loufoque (L'Apocalypse selon Huxley, La Grande Nécrose, etc.)

Après Contes pour petites filles perverses de Nadine Monfils , La défroque de G.J Arnaud