En octobre, la lecture ne te rend pas sobre !

OK merci. Je mets ça dans mon panier. En paperback US encore (In Conquest Born), car les dessins de couverture et les prix de l'Atalante sont repoussants.

Je termine ce soir l'Anneau de Ritornel, un Harness délicieux comme une orangeade glacée sous le soleil des moissons.

J'ai commencé Pur de Chainas, qui fait à cette occasion ses premiers pas indépendants dans l'anticipation. Des premiers pas qui s'annoncent fort encourageants.

		Citation : Je termine ce soir l'Anneau de Ritornel, un Harness délicieux comme une orangeade glacée sous le soleil des moissons.

Harness est un auteur que j'aime beaucoup, l'exemple même d'un petit maître de la sf.

J'ai commencé 1Q84 et je trouve que ça a la légèreté d'un fleuve russe au printemps qui charrie des blocs de glace de plusieurs tonnes... Ca vient de moi ?

Dans Les dédales démesurés de Philip K. Dick, j'en ai fini avec les cinq premières nouvelles (celles des années 50) ; et comme dans mes précédentes tentatives, je trouve que ça oscille du très bon (Au service du maître ; À l'image de Yancy) au très bof (Planète pour hôtes de passage ; Service après-vente).
Parfois, dans un même texte (Le M inaltérable), semblablement à ses romans...

En parallèle, je continue à lire Thomas Disch en picorant dans On SF et son blog.

Jim:

		Citation : C'est un obsessionnel, le Dorémieux

..ah, s'il m'avait connue en tant que Femme Rêvée. J'aurais pu être un admirable sujet de nouvelle à la disposition de sa charmante plume et de ses phantasmes mortifères récurrents. Mais comment aurais-je pu le meurtrir, perdue dans l’éther du Net, aussi tangible qu'un vent d'octets à la surface d'un disque dur ? Oh, pas de doute, il y aurait trouvé un moyen de se blesser lui-même.

Même si novembre est sérieusement entamé, cela fait quelques jours que j'ai abordé Chronique des années noires.

Fini le Chainas. Un roman de très légère anticipation, qui confirme l'auteur comme une plume majeure de la littérature contemporaine, une sorte de Di Rollo du polar.

Je continue sur du Disch : L'homme sans idées, remarquablement traduit par Dorémieux (pléonasme).

Un des très grandS KSR pour moi , ces chroniques...

Après le Joyeuses de Michel Quint , je termine La croix des décastés de Gilles Thomas...