Le VRAI top 10 des grosses daubes cosmiques

Mais il l'a fait !!! ^^

J'avoue que je n'ai rien à dire car cela fait si longtemps qu'il m'est tombé des mains que je ne sais plus ce qu'il y a dedans. Moi aussi je veux bien croire qu'il ait marqué l'époque. Il m'est tombé des mains y'a quand même environ 40 ans (minimum) hein ^^.

Par contre, à l'époque, donc, je ne sais pas, mais moi, les Van Vogt ne m''était pas tombé des mains, je peux encore les relire sans mourir, contrairement au livre sus-cité ou encore à Verne, plus ancien mais de taille dans le genre classique SF.

Damned : en reprenant ce thread au début, je tombe sur la définition du dico de Zomver à l'entrée Grosse Daube Cosmique, dont la cinquième acception est :
5. Fig. Par extension, expression iconoclaste employée abusivement pour désigner un livre que l’on a détesté alors que le monde entier (à l’exception d’une infime minorité) sait qu’il s’agit d’un chef d’œuvre. Ex. "Fondation" d'Isaac Asimov est une grosse daube cosmique. ;D

		Gilles Dumay : Pour le moment, je bosse sur les traductions révisées des trois premiers volumes de « Fondation » et j’en chie tellement je trouve ça niais, mou du noeud, mal écrit (Asimov c’est la Barbara Cartland de la science-fiction, en moins littéraire).

Source.

De Dick, il a dit aussi qu'il ne le voyait pas comme un grand écrivain, même s'il a "ouvert des brèches immenses".

		Citation : De Dick, il a dit aussi qu'il ne le voyait pas comme un grand écrivain, même s'il a "ouvert des brèches immenses".

Ouch !
Certes Dick a écrit son lot de gdc (tous ses romans sf avant L'oeil dans le ciel, Les marteaux de Vulacin ou Message de Frolix-8).
Il n'était pas un très bon nouvelliste.
Mais il a écrit nombre de chefs-d'oeuvre de la sf, à commencer par l'architecture complexe de son Maître du Haut-chateau, Ubik, Glissement de temps sur Mars, Le dieu venu du Centaure, Coulez mes larmes, dit le policier, Substance mort.
Pour moi, ce ne sont pas des brèches, mais des chefs-d'oeuvre.

Je suis aussi parfois assez perplexe face aux choix éditoriaux et aux coups de coeur de Dumay (ainsi qu'à sa production d'écrivain). Mais je lui reconnais le mérite d'être un franc-tireur (y compris dans ses critiques (voir comment il assassine Klein), et de savoir prendre de vrais risques.

		Olivier : Mais il a écrit nombre de chefs-d'oeuvre de la sf, à commencer par l'architecture complexe de son Maître du Haut-chateau, Ubik, Glissement de temps sur Mars, Le dieu venu du Centaure, Coulez mes larmes, dit le policier, Substance mort. Pour moi, ce ne sont pas des brèches, mais des chefs-d'oeuvre.

ah oui.

ah oui ^^ !!!

		Citation : "ouvert des brèches immenses".

La Brèche dans l'Espace, bien sûr...

Ah ben même expérience qu'Olivier à propos de Fondation, que j'ai relu il y a peu... Ca m'est tombé des mains. Cela dit Asimov a écrit de très bonnes choses...