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3 films, c’est impossible, c’est incommensurable, c’est assassin… pardon, c’est un défi, une forfanterie, une imposture !
Bah, lorsque j’étais à l’université… mes amis poètes africains me disaient : « Chez nous, c’est simple pour compter, c’est un, deux, beaucoup ! ».
Comme ils avaient raison !
Alors voilà :
1 = 2001 odyssée de l’espace, parce que c’est LA référence.
2 = Blade runner, parce que c’est LA référence.
Je me répète ? Pas l’impression…
Et puis « beaucoup », alors là j’ai envie de vous dire :
THX1138 (1970), parce qu’il m’a initié à la SF et qu’il reste collé à ma mémoire, une vraie projection politique comme je les aime…
L’armée des 12 singes (1995), parce que cette histoire est flippante à souhaits…
Rencontre du 3ème type (1977), parce que j’aime les extra terrestres gentils et que François Truffaut y était touchant.
Soleil vert (1973), parce que là aussi, il y a une vraie vision politique dont nous nous rapprochons toujours plus…
Bunker Palace Hôtel (1989) et Immortel (2004) parce que j’ai une vrai passion pour Enki Bilal !
E.T. (1982) parce qu’on ne peut pas l’oublier même s’il a mal vieilli…
Malevil (1981) parce que c’e fut une vraie réussite française, ce n’est pas si fréquent.
L’homme qui venait d’ailleurs (1976), parce que je suis fan de David Bowie.
Le 5ème élément (1997), parce que drôle et plein de trouvailles.
Zardoz (1973), pour Monsieur Sean C. et pour la vision politique encore.
Les Matrix, j’avoue… si, si !
Docteur Folamour (1964), parce qu’un tableau inoubliable de la grande paranoïa de la guerre froide !
1984 (1984), non ?
Wall E (2008), pour mon côté enfantin qui aime les jolis contes et que je soigne.
Ah, je me souviens aussi que j’avais aimé :
Quintet (1979), avec un Paul Newman convaincant dans le froid.
Cube (1997), une vraie trouvaille flippante.
Existenz (1998), parce que fallait suivre…
Avalon (2001), pour la palette de couleurs jaunes et l’ambiance glauque.
Le dernier combat (1983) pour les couleurs noires et blanches et l’univers désolé.
Men in black (1997) pour son côté pas sérieux rigolo.
Rollerball (1975), le premier.
Phase IV (1973), bien sûr, même si je n’ai pas peur des fourmis !
Je n’oublie pas non plus :
Les 20 000 lieues sous les mers…
Les Voyages au centre de la terre…
Farenheit 451 (1966), pour Truffaut.
Alphaville (1965), pour le tandem improbable Jean-Luc Godard - Eddie Constantine.
La mouche (1986), jolie petite bête.
Les Aliens, pour la belle et les grosses bêtes…
Mars Attack (1996), parce que désopilant.
Abyss (1989), encore des extras gentils… alors que nous hein, bouuuh !
Sphère (1998), tordu.
The thing (1982), une grosse bébête très très méchante et très très vilaine !
Short Circuit (1986), pour le robot rigolo.
Gremlins (1984), parce que c’est comme ça que j’aimais appeler mes élèves quand ils me fatiguaient gentiment…
Le voyage fantastique (1966), parce qu’avec les moyens de l’époque, ce fut un tour de force.
Tron (1982), pour les balbutiements des trucages numériques.
Wargames (1983), pour les débuts de la peur de l’informatique grand public…
Les retours vers le futur (1985 etc…),, pour le professeur déjanté.
Voilà, je crois que j’ai mes trois. Enfin… mes un, deux, beaucoup…
Désolé d'avoir été un peu... long ?
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