Espoir-du-cerf ne semble pas faire parti de l'oeuvre majeur d'Orson Scott
Card
, mais merrite selon moi d'être lu.Roman d' heroic fantasy un peu comparable au Silmarillion, il met en scène plusieurs personnages à des moment du récit differents. Ceci à la difference pret que ces personnages sont beaucoup moins nombreux et sont tous liés entre eux par le sang ou par l'histoire qui ne dépasse pas trois générations, même si cela représente en fait plus de 300 ans. A cette autre difference que l'on ne rencontre à aucun moment d'épopée et de batailles chevaleresques trés détaillées et au nombre de page concequent, et une trés faible quantité de dialogues tout autant chevaleresques (souvenez vous duseigneur des anneaux ou les hobbits paysans parle la même langue que les seigneurs). On est aussi moins orienté vers l'étude cartographique mise en parallèle même si elle existe un peu.
Pour en revenir à l'histoire elle-même, elle se déroule en Burland et la plus grande partie du temps dans sa capitale: Espoir-du-cerf. Les personnages principaux sont rois, reines à un moment ou à un autre soit parcequ'ils en ont fait leur quette, soit malgrés eux (lorsqu'ils sont manipués par les dieux) et parfois les deux en même temps. Ils ont toujour pour but, soit le pouvoir, soit l'honneur mais pas la richesse (tient donc). Je disais tout à l'heure que l'on ne rencontrait pas beaucoup de batailles, celles-ci sont en fait remplacés par l'utilisation de la magie dont l'auteur accorde beaucoup d'importance et d'imagination.
Mon avis: (comment je l'ait déjà donné)
L'interet que je porte à cette oeuvre est en grande partie due au fait que le narrateur est un personnage riche d'une certaine dualité, il est à la fois personnage en tant que tel(appelons-le A), et personnage narrateur : c'est à dire un personnage (le même en fait) qui raconte l'histoire aprés que celle-ci se soit déroulé (appelons_le B). Ce que je trouve extremement jouissif, c'est que B parle de A (de lui même mais jouans sont role dans l'histoire, à la troisieme personne ce qui fait qu'on ne connais pas et qu'on essaye de devnier l'identité du narrateur tout au long du récit, sauf bien sûr à la fin où le suspense étant à son comble Orson Scott
Card
ne manque pas de nous satisfaire.Mes réticences :
Simplement les petites longueurs que ne peut s'empecher de contenir tout roman d'heroic fantasy.
Remarque :
Il s'agit de ma première chronique, je suis trés content d'avoir franchit le pas mais je me doute bien qu'elle ne peut qu'être loin d'être parfaite, merci Lone pour l'exemple.