|
|
|
|
|
| | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
10/11/2004
| |
|
|
|
|
23
critiques | |
|
|
|
|
651
messages | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La critique du livre
Lire l'avis des internautes (9 réponses)
Bon, voilà le premier Spinrad que je lis. Et comme je trouve qu'un livre d'or est un bon moyen de découvrir un auteur, découvrons, découvrons...
Bilan ? Très satisfaisant même si je ne me suis pas reçu la claque que j'attendais à la vue des annonces des fans.
Je dois malgré tout avouer que ce recueil est de très bonne facture et que j'ai beaucoup aimé les textes que j'ai lu. Un, plus particulièrement, m'a marqué : La beauté de la chose. Avec cette nouvelle toute en finesse qui se hisse au palmarès de mes textes préférés dans ce format, je sais maintenant qu'il faudra que je lise un peu plus du bonhomme.
Bref, ce recueil vaut largement le détour, ne serait-ce que pour lire cette si fabuleuse nouvelle que je cite ci-dessus.
|
|
|
|
Né en 1940 à New York, Norman Spinrad est depuis les années soixante l'un des plus représentatifs et l'un des plus originaux des auteurs de la Nouvelle Vague américaine. Surtout connu en France pour deux romans étonnants : Jack Barron et l'Eternité et Rêve de fer, dont la publication fit l'effet d'une bombe dans le monde de la science-fiction, Norman Spinrad reste avant tout pour les critiques américains « l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur des auteurs de nouvelles que compte le genre » comme l'a écrit Ursula Le Guin.
Une réputation méritée qu'il doit au punch de ses idées ; des idées choc qui démolissent en quelques lignes les tabous littéraires et politiques apparemment les plus solides. Iconoclaste, contestataire, apôtre ambigu des hallucinogènes, Spinrad est un écrivain a l'humour dévastateur, d'une stupéfiante diversité. |
|
|
|
|
|
Vous aimez ce livre ou cette critique ? Faites-en part à vos amis !
Lire l'avis des internautes (9 réponses)
|