En 2019, sur les écrans, c'est la teuf

Hostile
Synopsis :
Dans un monde en ruine après une catastrophe inconnue, l'espèce humaine tente de se reconstruire. Les survivants ne sortent que la journée car la nuit venue d’étranges créatures sortent pour chasser. Juliette est la seule à oser s’aventurer près des villes. Un jour, sur le chemin du retour, elle perd le contrôle de sa voiture. Lorsqu'elle reprend connaissance, elle est blessée, coincée dans son véhicule, et… IL FAIT NUIT.
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Un film post -apocalyptique avec des vilaines créatures genre zombies , car on le comprend au fil de l'histoire avec les retours en arrière ... Un mélange des genres , malgré tout un peu lent , pas un mauvais film , mais la romance qui finie d'une manière ridicule , ça non ...

Asylum de Roy Ward Baker.
Un film à sketchs sur un scénario signé Robert Bloch himself.

Un casting à la fois classique (Peter Cushing) et inattendu (Charlotte Rampling, dans l'un des meilleurs sketchs).
Ca se laisse regarder au fil des sketchs inégaux, mais la fin est particulièrement réussie. Bloch réussit parfaitement sa chute.

La dernière séance de Peter Bogdanovich.

Un des premiers classiques du Nouvel Hollywood.
Un très beau film désenchanté, souvent élégiaque, parfois caustique.

Le casting multigénérationnel est brillant (à l’image du couple formé par Timothy Bottoms – dont c’est le second film, après Johnny got his gun – et Cloris Leachman, qui n’a pas volé son Oscar pour ce rôle).

La narration use à bon escient du non-dit et de l’ellipse (par exemple : la virée au Mexique des deux amis n’est pas montrée, seulement leur retour avec une belle gueule de bois), et certaines répliques sont mémorables (- « C’est grave ? » -« Non, seulement sinistre... »).

Le noir et blanc, sublime, se fait peu à peu funèbre et, sa grand rue balayée par le vent, Anarene prend des allures de ville-fantôme.Le dernier plan est magnifique.

Asylum de Roy Ward Baker.

Vu il y a très longtemps , j'avais beaucoup aimé celui avec la musique de Moussorgski, dans l'asile je crois et celui dans la cave ou les morceaux d'un cadavre se mettent à bouger ...

Merci pour le chocolat de Claude Chabrol,
d’après le roman de Charlotte Armstrong, The chocolate cobweb.

Une belle réussite.

Des acteurs impeccables (Isabelle Huppert magistrale dans le dévoilement progressif, Jacques Dutronc toujours très bien dans la sobriété, Anna Mouglalis dans un de ses premiers rôles...) dans une mise en scène découpée avec art.

Le récit installe une certaine langueur, qui pourra ennuyer ; je trouve personnellement que ça sied bien au sujet, au cadre (suisse, joliment filmé) et aux substances chimiques incriminées.

		Citation : Vu il y a très longtemps , j'avais beaucoup aimé celui avec la musique de Moussorgski, dans l'asile je crois et celui dans la cave ou les morceaux d'un cadavre se mettent à bouger ...

Oui, bon sketch et surtout excellente musique, parfaitement adaptée à un film d'horreur.

The Ranger
Un petit film d'horreur sans gros moyen qui ne vous fera pas trembler beaucoup....un groupe de punks se réfugient dans une cabane de forêt , mais le gardien du coin ne voit pas les choses d'un bon oeil ...

Sorry to bother you de Boots Riley.

Sympathique comédie satirique, dénonçant l’exploitation capitaliste, virant à la SF délirante dans sa dernière partie, le film fonctionne sur son énergie et la fraîcheur de son casting (Lakeith Stanfield, Tessa Thompson...)

Sans doute pas le chef-d’œuvre de nouveau cinéma vanté par une certaine presse mais une œuvre divertissante et relativement originale qui donne envie de voir si son auteur, musicien engagé, confirmera l’essai.

Oh my dog, j'ai oublié de le regarder celui là !!! Merci !!!

j'espère que ça te plaira, morca...

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Deuxième bande-annonce de la fête païenne de Midsommar : "Ça a l'air sympa."