Le VRAI top 10 des grosses daubes cosmiques

- Le monde de la mort de Harry Harrison. Il porte bien son nom, celui-là.

Rhôôôô, meuh non!

C'est sympa les aventures de Jason DinAlt :)
Je vétoise le Deathworld d'Harrison

Je confirme : si le premier "monde de la mort" n'est pas terrible, j'ai bien aimé "Appsala" : Jason DinAlt, pour moi, il a un peu la dégaine de Harrison Ford, Han Solo dans les aventures de l'arche perdue. (je mélange, là ?)
Disons qu'on l'apprécie en le prenant au second degré. (enfin bon, c'est mon cas, et je n'ai posté dans ce (vieux?) forum que pour défendre mon bifteck ! :-) )
Rendormez-vous, c'est fini.
Tchô !

Le pire des pires de ces dernières années : "Le père de nos pères", de Werber. Non seulement l'écriture est indigente (il le revendique), mais l'histoire est parfaitement débile (nous sommes issus du croisement entre un singe et un cochon, si je me rappelle bien). Je n'ai réussi à le terminer que parce que... je suis maso.

C'est vrai que Werber c'est du gratiné. Je ne l'ai pas lu celui-ci, mais j'ai dans mon top GDC un Werber. Et comme je suis passé à côté du thread, je profite de sa remontée des abysses pour en poster quelques-uns :

Novelisation de Independance Day
Novelisation de Star Trek, le film
L'empire interstellaire 1 & 2 de John Brunner (eh oui, même Brunner)
La révolution des fourmis de Bernard Werber

		Citation : Novelisation de Independance Day Novelisation de Star Trek, le film

Bah, les novelisations, ça devrait être hors compétition, c'est limite comme procédé...

		Citation : (eh oui, même Brunner)

Cyril ?!?!

Ben oui, morca, ces deux Brunner sont de la méga méga daube cosmique. Mais ils valent le détour dans la version que j'ai eu sous la main (et que je soupçonne d'être la seule) par le commentaire en préface de Brunner lui-même. Il y explique que c'est une œuvre de jeunesse -- ou devine qu'il veut dire une œuvre que j'aurais aimé voir disparaître -- et qu'il doute de la pertinence de la démarche éditoriale. Car ceux en recherche du Brunner de Zanzibar seront déçu par la piètre qualité, et les autres ignoreront Brunner car pas assez pulp ou roman de gare dans l'image.

OK
MAJ demain.

		Citation : Ben oui, morca, ces deux Brunner sont de la méga méga daube cosmique. Mais ils valent le détour dans la version que j'ai eu sous la main (et que je soupçonne d'être la seule) par le commentaire en préface de Brunner lui-même.

1) la version que tu évoque est le CLA, il existe une autre version chez le même éditeur mais en Galaxie-bis (en deux tomes).

2) la préface est de Walther si mes souvenirs sont bons.



(OPTA, 1981, couverture de Alain Stéphane Drouet)





(les deux, OPTA, 1985, couvertures de Dominique Antoine)

Désolé ,mais après la trilogie des Fourmis c est le Werber que je préfère..comme quoi...