Lecture en août, été doux

Oh, thope, je te trouve un peu dur, ça m'a paru un peu plus crédible que ça quand même ! Je suis loin de dire que c'est un chef-d'oeuvre mais je trouve l'idée de départ assez originale et pas si mal traitée.

Et j'attends ton avis sur le Bacigalupi avec un grand intérêt. Il est dans ma PAL électronique, et je n'ai malheureusement pas du tout le temps de le lire, damnation !

Un grand classique, et quel chef-d'oeuvre : L'homme dans le labyrinthe de Silverberg

Fini Midnight Movie de Tobe Hopper et.... Déçu.
très classique excepté dans la construction,

J'en suis à mi-lecture de L'odyssée de l'espèce de Roland C. Wagner et c'est très chouette.

Le début ronronne un peu mais passe fort bien car il donne au néophyte en Futurs mystères de Paris que je suis une ample présentation de cet univers psychocosmologique, et puis le style est toujours d'une impeccable fluidité.

Passé 100 pages, ça s'emballe et c'est avec plaisir que je fais la rencontre de l'aya Gloria dont on m'a tant vanté l'habileté et les charmes...

(Je croise aussi Honoré le cochon. J'apprends sa disparition ?! Il faut que j'en sache plus sur cette sombre affaire ! ^^)

		Citation : Un grand classique, et quel chef-d'oeuvre : L'homme dans le labyrinthe de Silverberg

Une ancienne lecture pour moi qui m'a laissé un agréable souvenir, à relire pour voir si je le classerais dans la catégorie chef d'oeuvre.
Pour le moment ce sera "Memoria" pour essayer Laurent Genefort.

>Jim : A chaque fois que je relis L'odyssée de l'espèce, j'y trouve des charmes nouveaux :-). J'en avais d'ailleurs commis une critique au moment de sa réédition en J'ai Lu http://www.vagabondsdureve.com/2010/04/de-l-les-futurs-mysteres-de-paris-iii_07.html. L'histoire d'Honoré est dans L'aube incertaine, càd le tome suivant, mais il me semble qu'on le voit aussi dans un autre, je ne sais + lequel... Damned, quand j'aurai cessé d'avoir le coeur qui serre et les dents qui grincent à la pensée de la disparition brutale de Roland, je vais me relire l'intégrale des Futurs mystères !

Ron Rash est Grand !

Ah je ne connais pas du tout. En dirais-tu plus, Le Gaidol ?

Pour ma part, je suis en train de finir de relire Replay, en VO cette fois, et ça me plaît toujours beaucoup :-).

Lisbei >> Voilà ce que je disais de son prédécesseur. On trouve dans La vie à l'endroit le même lyrisme lorsqu'il s'agit de restituer la beauté naturelle et une âpreté semblable dans les relations humaines.
La mémoire historique, l'inertie du milieu et les relations père/fils sont au centre du roman. Toutefois, il faut que je formalise mes impressions avant d'en dire plus.

Ah oui, merci, Le Gaidol. Je ne pense pas que Serena puisse me plaire quant à l'espace-temps où ça se déroule, mais le style semble attirant pour moi. J'essaierai peut-être.