Lectures de février pour ne pas se faire chier...

Les seigneurs de la nuit de Francis Richard-Bessière .

Lu ta chronique sur ton "Dino bleu", Gui..! Je sens tes réticences, les partage souvent, mais le fait est que malgré cette quasi-adhésion à tes propos, la trilogie m'a embarqué dans un trip divertissant typé page-turner sur le fil d'une écriture habile de conteur. "Les guerriers" n'ont pas inventé la SF, c'est sûr, mais a su en utiliser certaines formes..!
CF la chronique et les commentaires associés in CSF où l'on perçoit bien les différents avis autour de l'oeuvre.

Dr Jekyll et Mr Hyde de Stevenson. J'avais jamais lu.
J'adore ce thème du double.

BDN

		Citation : Dr Jekyll et Mr Hyde...[ ]...J'adore ce thème du double.

>>> +1

BDN

		Citation : Dr Jekyll et Mr Hyde...[ ]...J'adore ce thème du double.

>>> -1

Qu'est ce qu'en disent Mme Bovary et Rama2, double points, point d'interrogation

La première, je suppose, apprécie Dr Jerry et Mister Love, l'autre, tu t'en doute, pas du tout..!





Tout çà, n'est ce pas, n'est qu'une grande famille..!

Et au final, comme dirait Gainsbourg, j'ai du "Mister Hyde en moi", deux points, point d'exclamation.

		BdN : J'adore ce thème du double.

L'année cinéma pourrait te plaire, alors ; entre ça et ça...

J'ai entamé la lecture des frères Karamazov de Dostoievski. Cela devrait me tenir un moment...

A mi-chemin d'un curieux bouquin, roman/recueil tout juste réédité en poche, "Les cordelettes de Browser" de Tristan Garcia.
Fix-up décrivant les trajectoires immobiles de personnages empêtrés dans un monde figé où le temps s'est arrêté.
Rentré assez difficilement dans le premier texte, mais une fois embarqué, j'avoue être littéralement transporté.
Pour prendre un exemple, le très ballardien "Viv et les fantômes" (qui évoque irrésistiblement le "Je t'aime je t'aime" du duo Sternberg/Resnais) offre des fulgurances proprement sidérantes.*
Du coup, j'en arrive à me demander si je suis pas en train de lire un p...ain de chef-d'oeuvre.
Du coup (bis), je suis curieux de l'avis de lecteurs moins impressionnables, qui, sans être blasés, ont davantage de recul et sont plus mesurés dans leurs jugements (pour faire court : vous, CSFistes).


* comme cette scène où la Viv du titre, qui peut revisualiser à loisir tout son passé (mais uniquement ce qu'elle en a effectivement perçu lorsqu'elle l'a vécu), se rejoue inlassablement un épisode clef de sa vie, en quête d'un détail qu'elle tente désespérément de saisir mais qui, flirtant avec la limite de son champ visuel, lui reste obstinément inaccessible .